Brice était en train de déboutonner son pantalon. Je savais bien qu'il serait contraint de se branler en nous regardant. Il devait se sentir à l'étroit dans ses vêtements trop serrés. Il a une verge de bonne constitution. Quand il bande, elle grossit vite et fort. Je l'imaginais sans peine, coincée dans son slip, ne demandant qu'à se déployer et à prendre du volume. Mon mari allait sans nul doute se mettre à l'aise et s'astiquer le manche. Il nous arrivait assez fréquemment, lors de nos nuits torrides, de nous branler l'un devant l'autre. Ca fait partie de nos petits jeux érotiques préférés. Nous nous plaçons face à face et nous nous touchons le sexe pour nous faire jouir. C'est comme cela que j'ai bien appris à masturber mon homme et qu'il a fait des progrès énormes dans sa manière de me caresser la chatte. Je me régalai d'avance de le voir faire aller et venir sa main sur sa hampe.
Entre mes jambes, Joëlle s'activait. Agenouillée devant la table, elle avait passé ses bras sous mes cuisses et me tenait contre elle par le haut de mes fesses. C'était un peu comme si elle portait un bol à ses lèvres pour en boire le contenu. A la différence notable que je jouais le rôle du bol et que mon nectar de femme lui servait de boisson. La fille semblait trouver à son goût la liqueur qui coulait d'entre mes lèvres. Elle n'en laissait pas perdre la plus petite goutte. Sa langue fouillait le moindre recoin de ma vulve, glissant sur les nymphes, cherchant les perles de jus à travers ma fine toison bouclée. Elle me chatouillait l'orée du trou, sans entrer pour le moment, réservant des attouchements plus précis à un moment ultérieur, quand je serais plus chaude encore. Pour l'instant, elle se contentait de savourer ma sève avec gourmandise. Sa langue léchait, ses lèvres aspiraient et ma chatte mouillait d'abondance.
- Oh j'aime comme tu me bois Joëlle ! Lape bien ma mouille, prends tout jusqu'au bout. Non, tu peux en laisser un peu sur mon trou pour pouvoir m'enfiler tout à l'heure. Oui... ta langue... ah, c'est bon sur mon sexe !
J'en rajoutais un peu, mais à peine, à l'adresse de Brice qui écarquillait les yeux comme des billes dans son coin du salon. C'était vraiment délicieux et je n'avais pas besoin de me forcer pour dire mon plaisir à la gouine qui me mangeait le chat. A cet instant, je ne regrettais pas du tout le choix que j'avais dû opérer parmi les candidates. Joëlle me donnait toute satisfaction et ce n'était rien à côté de ce qu'elle allait encore faire pour mon éducation lesbienne au cours de la soirée. Je n'étais pas au bout de mes découvertes, ni de mon plaisir.
Pour le moment, je me régalais de ses caresses, tout comme mon mari. Brice avait maintenant sorti sa queue de son slip, comme je l'avais prévu. Mieux que ça, il avait complètement quitté son pantalon. Il sirotait son Champagne de la main gauche, tout en se caressant doucement la bite de la main droite. Il ne semblait pas pressé, ni fébrile. Il appréciait le spectacle en connaisseur et voulait faire durer son désir aussi longtemps que je serais à la merci de Joëlle. Nous étions sur la même longueur d'onde. Cela me rassura totalement et je me laissai aller sous les attouchements de ma partenaire. Pour ajouter encore un peu de piment, je posai mes mains sur mes seins et commençai à me les tâter. Je savais que ça ferait de l'effet à mon mari. Quand nous nous masturbons mutuellement, il aime que je me tire sur les nichons et, plus encore, quand je prends un bout dans la bouche et que je le suce. J'ai la chance d'avoir des mamelles qui s'y prêtent et je ne m'en prive pas. Pour lui faire plaisir, j'ai donc pris l'une de mes tétines entre les lèvres et je l'ai sucée comme si je prenais un biberon. Ca n'a pas échappé à Joëlle :
- Ah la cochonne, voila qu'elle se bouffe les nibards ! Ca te fais du bien quand je te suce la chatte, hein ? Tu aimes qu'on te mange le sexe ? T'es une bonne gouinasse qui veut qu'on lui fourre la vulve ? Attends un peu, je vais te donner ce que tu veux !
J'avais beau savoir que Joëlle me parlait comme ça parce que je le lui avais demandé et qu'elle jouait aussi un rôle, ses paroles me faisaient un effet fou. De toute manière, à la façon dont elle s'occupait de mon entrejambe, je savais bien qu'elle était sincère et qu'elle ne criait pas seulement pour exciter Brice encore plus qu'il ne l'était déjà. J'en rajoutai cependant dans la provocation :
- Oui, je crois que je deviens gouine ! C'est ta langue qui me fait du bien. Une langue de femme, c'est quand même autre chose. Tu sais comment me faire plaisir, continue, continue comme ça... c'est bon, c'est trop bon... lèche, suce... déguste-moi !
- J'ai mieux, tu es prête maintenant. Tu sens ça ? Ce sont mes doigts, ils meurent d'envie de venir visiter ta grotte enchantée. Je vais te les mettre bien au fond et ainsi, je pourrais te limer le trou. Tu verras, ce sera encore meilleur et tu vas avoir beaucoup de bonheur. J'entre !
Au moment même où elle finissait de prononcer ces quelques mots, elle appuya deux de ses doigts contre ma fente. Elle n'avait pas pris le temps de les lubrifier, mais mon sexe était tellement trempé que cela n'était pas vraiment nécessaire. J'ouvris un peu plus le compas de mes jambes pour l'aider à entrer en moi, mais là encore, ce n'était pas indispensable. Sa main s'introduisit sans difficulté dans mon con. Je ne voyais pas ce qu'elle faisait mais j'imaginais son index et son majeur pénétrant dans mon ventre, devant mon mari et ça me rendait folle. Visiblement, je n'étais pas la seule car Brice s'était un peu relevé sur son fauteuil pour mieux observer les manipulations de Joëlle. Il avait les yeux exorbités et sa main son poing se faisait plus volontaire sur sa queue. Je décidai de le stimuler à nouveau
- Brice, oh Brice, tu vois ce qu'elle me fait ? Elle me met ses doigts dans la chatte. C'est la première à faire ça ! Elle le fait bien, c'est une bonne branleuse. Regarde ta femme qui se fait mettre ! Regarde ! C'est pour toi, rien que pour toi !
- Ca, c'est ce qu'elle dit ! En réalité, c'est une vraie lesbienne en chaleur. Tout ce qui compte pour elle, c'est de se faire enfiler par une jeune gouine. Mate-la comme elle se trémousse sur mes doigts ! Et je peux te dire qu'elle mouille comme une vraie salope ! Maintenant, regarde ce que je vais lui mettre et apprécie comme elle en redemande ! On dirait qu'elle est en manque de sexe.
Je me demandais où elle voulait en venir. J'ai eu rapidement la réponse à mes interrogations. Ses doigts sont sortis de ma vulve comme ils y étaient entrés. Je me sentais vide, mais ça ne dura pas. Joëlle se pencha vers son sac à main qui traînait à côté de la table basse. Elle farfouilla un petit moment dedans et en ressortit le plus beau gode que j'ai jamais vu. Elle me le fourra sous les yeux pour que j'en apprécie la taille avant de le prendre en moi. Un sourire aux lèvres, elle s'adressa à moi :
- Tu vois, nous n'avons pas besoin d'homme. Ce qu'ils font, parfois si mal, avec leur queue, nous pouvons l'avoir, sans défaillance, avec notre ami que voilà. En plus, il vibre. Regarde !
Elle poussa un petit bouton à la base du manche et l'appareil se mit effectivement à vibrer dans sa main. Elle me fit un petit clin d'œil complice et l'engin disparut de mon regard. Haletante, j'attendais qu'elle me le fourre bien au chaud dans mon petit trou impatient.
Elle plaça d'abord le bout du gland de plastique sur mon petit bourgeon, déjà follement excité par ses précédentes caresses. Elle me toucha le clitoris avec la pointe un bon moment, faisant tourner le nœud vibrant dessus. Je savourai un instant cet attouchement divin mais, ce que je voulais par-dessus tout, c'était qu'elle me bourre la chatte. Je tendis les mains entre mes jambes et me saisis en même temps de la bite factice et de ses doigts. D'un geste brusque, je poussai le gode plus bas, vers l'ouverture de mon sexe puis le tirai vers moi, pour qu'il me remplisse le ventre. Joëlle était heureuse de me voir si pleine de désir :
- Ah, je vois que tu aimes ça ! Je vais te limer la fente avec ma grosse queue. Tu vas adorer être bien prise par mon manche.
Elle avait raison, j'adorais sentir la grosseur du vibro et le mouvement régulier qu'elle lui imprimait. Elle m'a branlée longtemps avec l'engin. J'avais l'impression étrange de n'être plus qu'un vagin et que toutes mes terminaisons nerveuses aboutissaient au fond de mon sexe. Après quelques minutes de cette expérience inoubliable, j'ai joui plus fort que jamais et je me suis évanouie sur la table de salon en entendant les cris de plaisir de Brice qui se mêlaient au mien.
femmenuetsexe
Mon cadeau lesbien
Je suis ce que les publicitaires appelleraient " une ménagère de moins de cinquante ans ". En fait, j'ai eu tout juste quarante-deux ans cette semaine. Je suis mariée depuis quatorze ans avec le même homme, Brice, que j'adore vraiment. Nous n'avons pas eu d'enfants. La nature en a décidé ainsi et nous n'avons pas trouvé le courage d'aller à son encontre. De toute manière, nous nous sommes peu à peu habitués à vivre en couple et nous profitons d'une certaine liberté qui n'est, au bout du compte, pas pour nous déplaire. C'est vrai que, parfois, les journées me paraissent longues. Mon mari gagne très bien sa vie et je n'ai pas besoin d'occuper un emploi. Je n'ai jamais travaillé et je n'en éprouve pas le besoin. Je participe à des activités bénévoles dans un certain nombre d'associations de la ville et nous faisons pas mal de sport en groupe avec Brice. Ainsi, je vois quand même du monde durant la semaine et le week-end.
D'un point de vue sexuel, notre relation est une réussite. Au cours de nos quatorze années de vie commune, nous avons expérimenté pas mal de manières de faire l'amour. Mon homme est un chaud lapin qui ne rechigne jamais quand j'ai besoin de baiser. Il faut dire que je suis très chaude aussi. En général, le sport me donne des envies de sexe. Après une sortie en roller ou en vélo, je ne peux pas attendre la fin de la douche avant de passer à l'acte. Nous avons fait installer une superbe et spacieuse salle de bains dans notre pavillon et c'est fréquemment là que se déroulent nos ébats. Brice commence à me connaître et il se réjouit d'avance quand nous rentrons de nos virées. Il entre presque toujours dans la pièce quand je suis sous la douche. Il vient admirer mes formes épanouies de quadragénaire encore bien foutue. Il aime mater mes seins lourds mais bien plantés sur ma poitrine ainsi que mes fesses et mes cuisses musclées après l'effort. Ca se termine presque toujours par une partie de jambes en l'air, soit dans la salle de bains directement, soit dans notre chambre.
Durant toutes ces années, j'ai bien évolué sexuellement. Je me souviens de la petite jeune fille timide et inexpérimentée que j'étais. Brice m'a beaucoup appris au début puis, peu à peu, nous avons progressé ensemble. Quand je pense que j'ai sucé ma première queue, celle de mon mari, à vingt-cinq ans seulement ! Je me rappelle également du jour où il m'a fourré son doigt dans le cul la première fois. J'ai trouvé ça choquant d'abord, puis délicieusement agréable, surtout quand il me massait l'anus avant de me l'ouvrir. Tellement agréable que je lui ai renvoyé l'ascenseur. Je crois qu'il apprécie. Peu de temps après, j'ai eu droit à ma première sodomie. J'ai appris à aimer être enculée. Il nous arrive de temps en temps de réitérer cette expérience, sans en abuser cependant. Depuis quelques mois, je sodomise aussi mon mari. Pour son anniversaire, je lui ai offert un gode-ceinture qu'il aime me sangler autour des reins. C'est une pratique que je réserve à des moments rares, pour ne pas la banaliser.
L'an dernier, mon mari m'a fait un autre cadeau pour mon anniversaire : j'ai pour la première fois été prise par deux hommes. Il a fait venir Jean-Pierre, l'un de ses collègues, un gars dont je lui avais déjà dit que je le trouvais agréable et beau garçon. La soirée a démarré lentement. J'étais seule avec Brice et nous avons pris un repas traiteur un peu arrosé à la maison. Après le dessert et une ultime coupe de Champagne, nous nous sommes rapprochés et nous avons fait l'amour sur le canapé du salon. J'étais déjà chaude, bien excitée par mon mari quand je me suis rendue compte qu'un autre homme était là, à nos côtés. C'était Jean-Pierre. J'avais la queue de Brice en moi qui me pilonnait et j'étais survoltée. C'est la raison pour laquelle j'ai pris sans rechigner la bite de son collègue dans ma bouche quand il l'a présentée devant mes lèvres. Ce fut une soirée mémorable à tous les égards. J'ai particulièrement adoré le moment où les deux gars m'ont prise en sandwich. Je n'ai jamais eu de plus beau cadeau d'anniversaire
Parmi toutes les expériences que nous avons vécues ensemble, il en manquait une jusqu'à la semaine dernière. Je n'avais jamais fait l'amour avec une femme. C'était quelque chose de totalement inconnu pour moi. Bien sur, j'avais déjà eu l'occasion de voir des films pornos dans lesquels des filles lesbiennes ou bisexuelles se faisaient des choses bien cochonnes. Nous louons pas mal de DVD pour adultes avec Brice, ça pimente nos longues soirées d'hiver et ça nous met dans de bonnes dispositions pour le reste de la nuit. J'ai toujours aimé les passages où des femmes se mangeaient entre les jambes ou se touchaient le sexe. C'est souvent moins bestial que beaucoup de scènes avec des hommes. Il m'arrivait de m'interroger sur mes envies de baise entre filles, surtout quand les scènes en question dégageaient suffisamment de charge érotique pour me faire mouiller. Mais je n'avais jamais eu l'occasion de franchir le pas. Pourtant, je savais que Brice apprécierait de me voir lécher une bonne chatte ou de regarder une lesbienne qui me sucerait le cul.
La semaine dernière, donc, j'ai décidé de profiter des quarante-cinq ans de mon mari pour lui offrir un cadeau qu'il n'oublierait jamais, comme je n'oublierai jamais la soirée avec Jean-Pierre. J'avais anticipé la chose et pris des contacts par la presse gratuite de notre région. J'avais déposé une annonce pour indiquer que je recherchais une femme lesbienne ou, mieux, bisexuelle, expérimentée et prête à initier une épouse devant son mari. J'ai eu quelques réponses sur mon mobile et j'ai pris rendez-vous avec deux de mes contacts. Je voulais être certaine de ne pas me tromper dans mon choix. J'ai éliminé rapidement la première des filles, qui me semblait un peu jeune et surtout était exclusivement lesbienne. La seconde, Joëlle, m'inspirait plus confiance dans sa capacité à être une bonne initiatrice et surtout, elle était totalement bisexuelle. Même si mon objectif principal était d'offrir à Brice le spectacle de sa femme gouinée par une inconnue, je ne pouvais exclure le fait que celui-ci veuille éventuellement participer à nos ébats. J'ai mis un petit scénario au point avec ma partenaire et nous nous sommes quittées en nous donnant rendez-vous à la maison le jour convenu.
Vendredi dernier, c'était le jour J. Brice est rentré du boulot un peu plus tôt que d'habitude, comme toutes les fins de semaine. Il a garé sa voiture au garage, en sous-sol et il est monté par l'escalier intérieur. Je l'ai entendu refermer la porte, accrocher sa veste sur le porte-manteau et enlever ses chaussures. C'était son rituel habituel. Je savais qu'il irait ensuite faire un détour par les toilettes pour se laver les mains, en prévision du repas. Après quelques minutes, il poussa la porte du séjour, où je l'attendais avec Joëlle.
- Bonsoir mon chéri, et bon anniversaire !
A son air abasourdi, je compris que j'avais visé juste. Il faut dire qu'il y avait de quoi être retourné. J'étais allongée sur la table basse, les jambes pendantes de part et d'autre de Joëlle qui me suçait consciencieusement la chatte. J'avais un petit coussin sous les épaules qui me permettait de jouir pleinement de la surprise de Brice. J'étais ravie du tour malicieux que je lui jouais.
Prends place sur le fauteuil chéri, je t'ai préparé un petit apéritif. Installe-toi et regarde comme elle me fait du bien !
Il fit comme je le lui demandai, s'assit sur le siège et prit la bouteille dans le seau à glace pour se servir une rasade de son Champagne préféré. Passé l'effet de surprise, il paraissait prêt à profiter du spectacle que nous lui offrions, Joëlle et moi. Il ouvrit sa cravate et se laissa glisser dans le fauteuil.
J'étais déjà bien excitée. Autant par la situation elle-même et ce qu'elle charriait de perversité que par les caresses de Joëlle sur ma fente qui commençaient à se faire insistante. Elle avait juste démarré son travail quand nous avions entendu la voiture de Brice arriver. Je ne voulais pas qu'elle m'excite trop longtemps à l'avance pour que mon mari puisse profiter de l'intégralité de mon initiation. Mais maintenant, elle était lancée et je crois que rien n'aurait pu l'arrêter. Moi non plus d'ailleurs. J'appréciais déjà la caresse de sa langue sur ma vulve et j'étais bien disposée à en jouir longuement. J'approchai encore un peu plus mon bas-ventre du bord de la table de salon pour donner une meilleure prise à sa bouche vorace. En faisant ce geste ostensiblement, je ne pouvais m'empêcher de penser que Brice s'en rendrait compte et le trouverait excitant. Je forçai un peu le trait et en rajoutai verbalement, comme je l'avais vu faire par les actrices de mes films pornos :
- Tiens Joëlle, prends ma chatte et lèche-la bien ! J'aime tes lèvres sur mon minou.
Tout en parlant, je regardais mon mari qui prenait ses aises sur son siège.
D'un point de vue sexuel, notre relation est une réussite. Au cours de nos quatorze années de vie commune, nous avons expérimenté pas mal de manières de faire l'amour. Mon homme est un chaud lapin qui ne rechigne jamais quand j'ai besoin de baiser. Il faut dire que je suis très chaude aussi. En général, le sport me donne des envies de sexe. Après une sortie en roller ou en vélo, je ne peux pas attendre la fin de la douche avant de passer à l'acte. Nous avons fait installer une superbe et spacieuse salle de bains dans notre pavillon et c'est fréquemment là que se déroulent nos ébats. Brice commence à me connaître et il se réjouit d'avance quand nous rentrons de nos virées. Il entre presque toujours dans la pièce quand je suis sous la douche. Il vient admirer mes formes épanouies de quadragénaire encore bien foutue. Il aime mater mes seins lourds mais bien plantés sur ma poitrine ainsi que mes fesses et mes cuisses musclées après l'effort. Ca se termine presque toujours par une partie de jambes en l'air, soit dans la salle de bains directement, soit dans notre chambre.
Durant toutes ces années, j'ai bien évolué sexuellement. Je me souviens de la petite jeune fille timide et inexpérimentée que j'étais. Brice m'a beaucoup appris au début puis, peu à peu, nous avons progressé ensemble. Quand je pense que j'ai sucé ma première queue, celle de mon mari, à vingt-cinq ans seulement ! Je me rappelle également du jour où il m'a fourré son doigt dans le cul la première fois. J'ai trouvé ça choquant d'abord, puis délicieusement agréable, surtout quand il me massait l'anus avant de me l'ouvrir. Tellement agréable que je lui ai renvoyé l'ascenseur. Je crois qu'il apprécie. Peu de temps après, j'ai eu droit à ma première sodomie. J'ai appris à aimer être enculée. Il nous arrive de temps en temps de réitérer cette expérience, sans en abuser cependant. Depuis quelques mois, je sodomise aussi mon mari. Pour son anniversaire, je lui ai offert un gode-ceinture qu'il aime me sangler autour des reins. C'est une pratique que je réserve à des moments rares, pour ne pas la banaliser.
L'an dernier, mon mari m'a fait un autre cadeau pour mon anniversaire : j'ai pour la première fois été prise par deux hommes. Il a fait venir Jean-Pierre, l'un de ses collègues, un gars dont je lui avais déjà dit que je le trouvais agréable et beau garçon. La soirée a démarré lentement. J'étais seule avec Brice et nous avons pris un repas traiteur un peu arrosé à la maison. Après le dessert et une ultime coupe de Champagne, nous nous sommes rapprochés et nous avons fait l'amour sur le canapé du salon. J'étais déjà chaude, bien excitée par mon mari quand je me suis rendue compte qu'un autre homme était là, à nos côtés. C'était Jean-Pierre. J'avais la queue de Brice en moi qui me pilonnait et j'étais survoltée. C'est la raison pour laquelle j'ai pris sans rechigner la bite de son collègue dans ma bouche quand il l'a présentée devant mes lèvres. Ce fut une soirée mémorable à tous les égards. J'ai particulièrement adoré le moment où les deux gars m'ont prise en sandwich. Je n'ai jamais eu de plus beau cadeau d'anniversaire
Parmi toutes les expériences que nous avons vécues ensemble, il en manquait une jusqu'à la semaine dernière. Je n'avais jamais fait l'amour avec une femme. C'était quelque chose de totalement inconnu pour moi. Bien sur, j'avais déjà eu l'occasion de voir des films pornos dans lesquels des filles lesbiennes ou bisexuelles se faisaient des choses bien cochonnes. Nous louons pas mal de DVD pour adultes avec Brice, ça pimente nos longues soirées d'hiver et ça nous met dans de bonnes dispositions pour le reste de la nuit. J'ai toujours aimé les passages où des femmes se mangeaient entre les jambes ou se touchaient le sexe. C'est souvent moins bestial que beaucoup de scènes avec des hommes. Il m'arrivait de m'interroger sur mes envies de baise entre filles, surtout quand les scènes en question dégageaient suffisamment de charge érotique pour me faire mouiller. Mais je n'avais jamais eu l'occasion de franchir le pas. Pourtant, je savais que Brice apprécierait de me voir lécher une bonne chatte ou de regarder une lesbienne qui me sucerait le cul.
La semaine dernière, donc, j'ai décidé de profiter des quarante-cinq ans de mon mari pour lui offrir un cadeau qu'il n'oublierait jamais, comme je n'oublierai jamais la soirée avec Jean-Pierre. J'avais anticipé la chose et pris des contacts par la presse gratuite de notre région. J'avais déposé une annonce pour indiquer que je recherchais une femme lesbienne ou, mieux, bisexuelle, expérimentée et prête à initier une épouse devant son mari. J'ai eu quelques réponses sur mon mobile et j'ai pris rendez-vous avec deux de mes contacts. Je voulais être certaine de ne pas me tromper dans mon choix. J'ai éliminé rapidement la première des filles, qui me semblait un peu jeune et surtout était exclusivement lesbienne. La seconde, Joëlle, m'inspirait plus confiance dans sa capacité à être une bonne initiatrice et surtout, elle était totalement bisexuelle. Même si mon objectif principal était d'offrir à Brice le spectacle de sa femme gouinée par une inconnue, je ne pouvais exclure le fait que celui-ci veuille éventuellement participer à nos ébats. J'ai mis un petit scénario au point avec ma partenaire et nous nous sommes quittées en nous donnant rendez-vous à la maison le jour convenu.
Vendredi dernier, c'était le jour J. Brice est rentré du boulot un peu plus tôt que d'habitude, comme toutes les fins de semaine. Il a garé sa voiture au garage, en sous-sol et il est monté par l'escalier intérieur. Je l'ai entendu refermer la porte, accrocher sa veste sur le porte-manteau et enlever ses chaussures. C'était son rituel habituel. Je savais qu'il irait ensuite faire un détour par les toilettes pour se laver les mains, en prévision du repas. Après quelques minutes, il poussa la porte du séjour, où je l'attendais avec Joëlle.
- Bonsoir mon chéri, et bon anniversaire !
A son air abasourdi, je compris que j'avais visé juste. Il faut dire qu'il y avait de quoi être retourné. J'étais allongée sur la table basse, les jambes pendantes de part et d'autre de Joëlle qui me suçait consciencieusement la chatte. J'avais un petit coussin sous les épaules qui me permettait de jouir pleinement de la surprise de Brice. J'étais ravie du tour malicieux que je lui jouais.
Prends place sur le fauteuil chéri, je t'ai préparé un petit apéritif. Installe-toi et regarde comme elle me fait du bien !
Il fit comme je le lui demandai, s'assit sur le siège et prit la bouteille dans le seau à glace pour se servir une rasade de son Champagne préféré. Passé l'effet de surprise, il paraissait prêt à profiter du spectacle que nous lui offrions, Joëlle et moi. Il ouvrit sa cravate et se laissa glisser dans le fauteuil.
J'étais déjà bien excitée. Autant par la situation elle-même et ce qu'elle charriait de perversité que par les caresses de Joëlle sur ma fente qui commençaient à se faire insistante. Elle avait juste démarré son travail quand nous avions entendu la voiture de Brice arriver. Je ne voulais pas qu'elle m'excite trop longtemps à l'avance pour que mon mari puisse profiter de l'intégralité de mon initiation. Mais maintenant, elle était lancée et je crois que rien n'aurait pu l'arrêter. Moi non plus d'ailleurs. J'appréciais déjà la caresse de sa langue sur ma vulve et j'étais bien disposée à en jouir longuement. J'approchai encore un peu plus mon bas-ventre du bord de la table de salon pour donner une meilleure prise à sa bouche vorace. En faisant ce geste ostensiblement, je ne pouvais m'empêcher de penser que Brice s'en rendrait compte et le trouverait excitant. Je forçai un peu le trait et en rajoutai verbalement, comme je l'avais vu faire par les actrices de mes films pornos :
- Tiens Joëlle, prends ma chatte et lèche-la bien ! J'aime tes lèvres sur mon minou.
Tout en parlant, je regardais mon mari qui prenait ses aises sur son siège.
Commentaires textes : Écrire
gouinée dans la buandrie
J'avais maintenant les deux doigts de Margaux solidement plantés dans le minou. Elle s'est mise à les faire bouger en cadence, d'abord d'avant en arrière puis, un peu plus tard, en les faisant tourner en sens inverse l'un de l'autre. J'écartais mes cuisses le plus possible pour ressentir au mieux les effets terriblement excitants de ses caresses intimes. J'entendais le bruit que faisaient ses phalanges en baignant dans mon jus de plus en plus abondant. Je sentais même couler ma mouille au bord de mon trou, jusqu'entre mes fesses, tout au fond de ma raie du cul. Je me souviens avoir compris alors que mon anus devait s'étaler complaisamment sous les yeux de ma branleuse. Un brutal sentiment de honte m'a envahie à cette idée et cela, paradoxalement, augmenta encore mon désir qui avait pourtant déjà atteint des proportions considérables dans mon ventre. Je me suis mise à gigoter sur la table pour accompagner les gestes salaces de Margaux dans mon con. C'est le moment qu'elle a choisi pour se pencher vers mon entrejambe et approcher son visage de ma vulve offerte.
Elle a craché sur mon sexe avant d'en sortir un de ses doigts, vite remplacé par le voisin de celui qui était resté dedans. Du plat de sa main libérée, elle tapotait sur mes petites lèvres pour exciter mon clitoris trempé tant par ma liqueur que par la salive qu'elle venait d'y déposer. A chaque nouveau contact de ses doigts avec le petit monticule, elle m'envoyait une décharge électrique au fond du ventre et m'arrachait un gémissement impossible à retenir. Elle finit par se calmer après m'avoir mise dans tous mes états et avança encore un peu plus sa figure entre mes cuisses. Elle savait parfaitement alterner les moments forts et les périodes plus calmes, moduler l'intensité de ses caresses. Visiblement, c'était loin d'être la première fois qu'elle baisait une femme et je ressentais une certaine fierté d'avoir été choisie par elle pour bénéficier de ses troublantes attentions.
Linda faisait aussi preuve d'initiative. Je sentais bien qu'elle commençait à s'exciter plus que de raison. J'avais laissé aller ma main entre ses fesses et j'étais parvenue à lui toucher la chatte par derrière. Cette première rencontre avec un autre sexe que le mien était magique pour moi. Elle n'avait pas de poils et j'avais l'impression de sentir sous mes doigts une minette de toute jeune fille. Elle était pourtant déjà bien gonflée et humide. J'y introduisis un doigt sans attendre et sans préliminaires inutiles. Comme celui-ci entra très facilement dans l'orifice de Linda, je lui donnai immédiatement un compagnon qui suivit le même chemin avec autant de facilité. La gouine redoubla d'ardeur sur mes seins, comme pour me remercier de mon geste. Nous demeurâmes dans cette position un instant, savourant nos caresses mutuelles en soupirant et en râlant. Mais après quelques minutes, la blonde étudiante, sans doute motivée par les agissements de Margaux, pivota et, sans lâcher mes tétons, grimpa sur la table pour venir me coller sa vulve sur la bouche.
Elle avait mis ses genoux de part et d'autre de ma tête et abaissé son sexe sur mon visage lentement. J'avais à peine eu le temps d'entrevoir son petit abricot impoilu avant qu'il ne vienne se poser sur mes lèvres. Au début, je suis restée incapable de la moindre réaction. Je sentais l'humidité de son con sur ma bouche et l'odeur suave qui s'en échappait venait me titiller les narines. Linda a commencé à s'impatienter. Elle avait besoin de me sentir. Elle a commencé à se balancer sur moi pour se frotter la fente contre ma gueule. Elle écrasait son chat sur mes lèvres, faisait rouler son cul comme pour se branler sur ma figure. J'avais un peu de mal à respirer, il fallait que je l'oblige à calmer ses ardeurs. Résigné, j'ai timidement sorti ma langue de ma bouche et je l'ai pointée au centre de sa moule. En même temps, j'ai posé une main sur sa croupe et je me suis saisie d'un de ses nichons avec l'autre
J'essayais de m'inspirer des agissements de Margaux entre mes cuisses pour contenter Linda. Quand ma suceuse farfouillait dans mon trou avec son petit muscle j'en faisais autant de mon côté. Lorsqu'elle aspirait mon clito entre ses lèvres ventouses, je cherchais le petit bouton de Linda pour le sucer. J'ai eu un peu de mal à le débusquer au début, mais après l'avoir bien fait grossir en le tétant, ça a été plus facile par la suite. Toute espèce de honte ou de gêne m'avait quittée maintenant. Mes pensées étaient entièrement tournées vers la satisfaction de mes désirs et de ceux de mes partenaires. J'essayais de m'appliquer au maximum mais j'avais bien des difficultés à ne pas me laisser emporter par la fougue qui peu à peu s'emparait de moi. Heureusement, Margaux s'est interrompue un instant de me gamahucher et cela m'a permis de retrouver quelque peu mes esprits. Ce répit a cependant été de courte durée.
Je ne voyais pas ce que la blonde tramait, coincée comme je l'étais sous le bas-ventre de Linda. J'entendais à peine les bruits qui parvenaient à mes oreilles, assourdis par les cuisses de ma maîtresse. Le travail de ma langue et de mes lèvres sur et dans la chatte de celle-ci produisaient des sons incongrus qui participaient à mon excitation. Je suis restée seule avec elle pendant quelques minutes. Elle avait étendu le bras pour remplacer sur mon sexe l'action des mains et de la bouche de sa copine, tout en continuant à me sucer les tétons alternativement. Elle me doigtait avec son index et son majeur réunis. Ses doigts étaient plus larges, plus forts que ceux de Margaux. Ils me remplissaient mieux le vagin. Elle m'a branlée pendant les deux ou trois minutes au maximum où Margaux est restée loin de moi. Quand celle-ci est revenue, elle lui a tout naturellement rendu sa place entre mes jambes. J'ai quand même senti ses doigts me quitter avec une pointe de regret.
Ils ont aussitôt été remplacés par quelque chose de plus froid, à l'extrémité arrondie. Je n'en étais pas sûr, mais on aurait dit le manche d'un objet. J'ai pensé à la brosse qui servait habituellement à frotter le linge très sale avant lavage, lorsqu'on y déposait du détachant. J'ai su plus tard que j'avais raison. Sur le moment, j'ai trouvé le contact avec cet objet un peu désagréable, mais lorsque Margaux l'a poussé en avant pour me l'introduire dans le sexe, j'ai été étonné de m'apercevoir que celui-ci l'avala goulûment. Il faut dire qu'il avait été bien préparé par les manipulations des deux lesbiennes qui me gouinaient. L'avantage du manche de la brosse, c'est qu'il était plus épais et plus long que les doigts de mes camarades de jeu. Il est tout de suite aller se placer au fond de ma grotte. Margaux s'est mise à le faire tourner comme pour m'élargir encore l'orifice vaginal. Quand le plastique passait en haut de mon trou, il frottait sur mon clitoris qui bandait et ça me faisait un bien fou.
Le tableau fût complet quand celle qui me fourrait aussi adroitement la moule se décida à son tour à grimper sur la table. La pauvre devait avoir bien besoin qu'on s'occupe aussi un peu d'elle. Jusqu'à présent, elle s'était contentée de me donner du plaisir et je lui en étais reconnaissante, mais j'imagine qu'elle avait aussi des besoins à combler. Elle était souple, heureusement. Elle s'est mise au-dessus de mon ventre en continuant à me limer le chat. De temps en temps, elle revenait poser sa bouche sur mon clito raide et le suçait avec habileté. Linda lâcha mes seins, se redressa et l'invita à relever sa croupe. Elle plaqua ses lèvres entre les cuisses de son amie et se mit à lui laper la vulve par en-dessous.
Nous nous sommes gouinées toutes les trois pendant encore quelques minutes mais la tension devenait très forte dans la buanderie. Margaux, qui était assez discrète jusqu'à présent ne se retenait plus de soupirer ni de gémir. Apparemment, elle avait du mal à supporter les caresses buccales de Linda qui se donnait à fond. Je redoublai moi aussi d'intensité dans mes efforts pour faire jouir la fille qui me chevauchait le visage. J'avais trouvé ma place dans le trio et mon rythme de croisière pour lécher sa connasse baveuse. Bizarrement, c'est Margaux qui a joui la première malgré l'expérience qu'elle semblait posséder. Il faut croire qu'elle s'était vraiment beaucoup échauffée toute seule en s'occupant de mon sexe. Peut-être qu'elle s'était branlée durant tout ce temps-là et que cela expliquait l'état d'extreme tension où elle se trouvait déjà en grimpant sur moi ? Quoi qu'il en soit, son orgasme a été violent et je crois qu'il a même surpris Linda. De l'entendre jouir m'a rapidement amenée moi aussi à l'explosion finale. J'ai été heureuse de sentir sur ma bouche les contractions du vagin de Linda qui exultait également
Nous sommes inséparables toutes les trois depuis cet épisode de folie. Je vais souvent les voir dans le petit studio qu'elles occupent ensemble à la résidence et je dois dire que j'y trouve beaucoup de bonheur. Je ne crois pas que je sois pour autant devenue une gouine impénitente. Au contraire, j'ai constaté que je les garçons m'intéressent de plus en plus et que j'arrive maintenant plus facilement à entrer en contact avec eux, certainement parce que cette expérience a libéré quelque chose qui était profondément enfoui en moi jusqu'à présent. Je sais déjà qu'il ne se passera guère de temps avant que je ne tente l'aventure du sexe avec un mec. C'est une question de jours et, d'ailleurs, Linda et Margaux qui sont plus bisexuelles que réellement lesbiennes m'y encouragent vivement. Je vais suivre les conseils qu'elles me donnent à la lettre, sans oublier cependant de les remercier pour tout ce que je leur dois.
Elle a craché sur mon sexe avant d'en sortir un de ses doigts, vite remplacé par le voisin de celui qui était resté dedans. Du plat de sa main libérée, elle tapotait sur mes petites lèvres pour exciter mon clitoris trempé tant par ma liqueur que par la salive qu'elle venait d'y déposer. A chaque nouveau contact de ses doigts avec le petit monticule, elle m'envoyait une décharge électrique au fond du ventre et m'arrachait un gémissement impossible à retenir. Elle finit par se calmer après m'avoir mise dans tous mes états et avança encore un peu plus sa figure entre mes cuisses. Elle savait parfaitement alterner les moments forts et les périodes plus calmes, moduler l'intensité de ses caresses. Visiblement, c'était loin d'être la première fois qu'elle baisait une femme et je ressentais une certaine fierté d'avoir été choisie par elle pour bénéficier de ses troublantes attentions.
Linda faisait aussi preuve d'initiative. Je sentais bien qu'elle commençait à s'exciter plus que de raison. J'avais laissé aller ma main entre ses fesses et j'étais parvenue à lui toucher la chatte par derrière. Cette première rencontre avec un autre sexe que le mien était magique pour moi. Elle n'avait pas de poils et j'avais l'impression de sentir sous mes doigts une minette de toute jeune fille. Elle était pourtant déjà bien gonflée et humide. J'y introduisis un doigt sans attendre et sans préliminaires inutiles. Comme celui-ci entra très facilement dans l'orifice de Linda, je lui donnai immédiatement un compagnon qui suivit le même chemin avec autant de facilité. La gouine redoubla d'ardeur sur mes seins, comme pour me remercier de mon geste. Nous demeurâmes dans cette position un instant, savourant nos caresses mutuelles en soupirant et en râlant. Mais après quelques minutes, la blonde étudiante, sans doute motivée par les agissements de Margaux, pivota et, sans lâcher mes tétons, grimpa sur la table pour venir me coller sa vulve sur la bouche.
Elle avait mis ses genoux de part et d'autre de ma tête et abaissé son sexe sur mon visage lentement. J'avais à peine eu le temps d'entrevoir son petit abricot impoilu avant qu'il ne vienne se poser sur mes lèvres. Au début, je suis restée incapable de la moindre réaction. Je sentais l'humidité de son con sur ma bouche et l'odeur suave qui s'en échappait venait me titiller les narines. Linda a commencé à s'impatienter. Elle avait besoin de me sentir. Elle a commencé à se balancer sur moi pour se frotter la fente contre ma gueule. Elle écrasait son chat sur mes lèvres, faisait rouler son cul comme pour se branler sur ma figure. J'avais un peu de mal à respirer, il fallait que je l'oblige à calmer ses ardeurs. Résigné, j'ai timidement sorti ma langue de ma bouche et je l'ai pointée au centre de sa moule. En même temps, j'ai posé une main sur sa croupe et je me suis saisie d'un de ses nichons avec l'autre
J'essayais de m'inspirer des agissements de Margaux entre mes cuisses pour contenter Linda. Quand ma suceuse farfouillait dans mon trou avec son petit muscle j'en faisais autant de mon côté. Lorsqu'elle aspirait mon clito entre ses lèvres ventouses, je cherchais le petit bouton de Linda pour le sucer. J'ai eu un peu de mal à le débusquer au début, mais après l'avoir bien fait grossir en le tétant, ça a été plus facile par la suite. Toute espèce de honte ou de gêne m'avait quittée maintenant. Mes pensées étaient entièrement tournées vers la satisfaction de mes désirs et de ceux de mes partenaires. J'essayais de m'appliquer au maximum mais j'avais bien des difficultés à ne pas me laisser emporter par la fougue qui peu à peu s'emparait de moi. Heureusement, Margaux s'est interrompue un instant de me gamahucher et cela m'a permis de retrouver quelque peu mes esprits. Ce répit a cependant été de courte durée.
Je ne voyais pas ce que la blonde tramait, coincée comme je l'étais sous le bas-ventre de Linda. J'entendais à peine les bruits qui parvenaient à mes oreilles, assourdis par les cuisses de ma maîtresse. Le travail de ma langue et de mes lèvres sur et dans la chatte de celle-ci produisaient des sons incongrus qui participaient à mon excitation. Je suis restée seule avec elle pendant quelques minutes. Elle avait étendu le bras pour remplacer sur mon sexe l'action des mains et de la bouche de sa copine, tout en continuant à me sucer les tétons alternativement. Elle me doigtait avec son index et son majeur réunis. Ses doigts étaient plus larges, plus forts que ceux de Margaux. Ils me remplissaient mieux le vagin. Elle m'a branlée pendant les deux ou trois minutes au maximum où Margaux est restée loin de moi. Quand celle-ci est revenue, elle lui a tout naturellement rendu sa place entre mes jambes. J'ai quand même senti ses doigts me quitter avec une pointe de regret.
Ils ont aussitôt été remplacés par quelque chose de plus froid, à l'extrémité arrondie. Je n'en étais pas sûr, mais on aurait dit le manche d'un objet. J'ai pensé à la brosse qui servait habituellement à frotter le linge très sale avant lavage, lorsqu'on y déposait du détachant. J'ai su plus tard que j'avais raison. Sur le moment, j'ai trouvé le contact avec cet objet un peu désagréable, mais lorsque Margaux l'a poussé en avant pour me l'introduire dans le sexe, j'ai été étonné de m'apercevoir que celui-ci l'avala goulûment. Il faut dire qu'il avait été bien préparé par les manipulations des deux lesbiennes qui me gouinaient. L'avantage du manche de la brosse, c'est qu'il était plus épais et plus long que les doigts de mes camarades de jeu. Il est tout de suite aller se placer au fond de ma grotte. Margaux s'est mise à le faire tourner comme pour m'élargir encore l'orifice vaginal. Quand le plastique passait en haut de mon trou, il frottait sur mon clitoris qui bandait et ça me faisait un bien fou.
Le tableau fût complet quand celle qui me fourrait aussi adroitement la moule se décida à son tour à grimper sur la table. La pauvre devait avoir bien besoin qu'on s'occupe aussi un peu d'elle. Jusqu'à présent, elle s'était contentée de me donner du plaisir et je lui en étais reconnaissante, mais j'imagine qu'elle avait aussi des besoins à combler. Elle était souple, heureusement. Elle s'est mise au-dessus de mon ventre en continuant à me limer le chat. De temps en temps, elle revenait poser sa bouche sur mon clito raide et le suçait avec habileté. Linda lâcha mes seins, se redressa et l'invita à relever sa croupe. Elle plaqua ses lèvres entre les cuisses de son amie et se mit à lui laper la vulve par en-dessous.
Nous nous sommes gouinées toutes les trois pendant encore quelques minutes mais la tension devenait très forte dans la buanderie. Margaux, qui était assez discrète jusqu'à présent ne se retenait plus de soupirer ni de gémir. Apparemment, elle avait du mal à supporter les caresses buccales de Linda qui se donnait à fond. Je redoublai moi aussi d'intensité dans mes efforts pour faire jouir la fille qui me chevauchait le visage. J'avais trouvé ma place dans le trio et mon rythme de croisière pour lécher sa connasse baveuse. Bizarrement, c'est Margaux qui a joui la première malgré l'expérience qu'elle semblait posséder. Il faut croire qu'elle s'était vraiment beaucoup échauffée toute seule en s'occupant de mon sexe. Peut-être qu'elle s'était branlée durant tout ce temps-là et que cela expliquait l'état d'extreme tension où elle se trouvait déjà en grimpant sur moi ? Quoi qu'il en soit, son orgasme a été violent et je crois qu'il a même surpris Linda. De l'entendre jouir m'a rapidement amenée moi aussi à l'explosion finale. J'ai été heureuse de sentir sur ma bouche les contractions du vagin de Linda qui exultait également
Nous sommes inséparables toutes les trois depuis cet épisode de folie. Je vais souvent les voir dans le petit studio qu'elles occupent ensemble à la résidence et je dois dire que j'y trouve beaucoup de bonheur. Je ne crois pas que je sois pour autant devenue une gouine impénitente. Au contraire, j'ai constaté que je les garçons m'intéressent de plus en plus et que j'arrive maintenant plus facilement à entrer en contact avec eux, certainement parce que cette expérience a libéré quelque chose qui était profondément enfoui en moi jusqu'à présent. Je sais déjà qu'il ne se passera guère de temps avant que je ne tente l'aventure du sexe avec un mec. C'est une question de jours et, d'ailleurs, Linda et Margaux qui sont plus bisexuelles que réellement lesbiennes m'y encouragent vivement. Je vais suivre les conseils qu'elles me donnent à la lettre, sans oublier cependant de les remercier pour tout ce que je leur dois.
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gouinée dans la buandrie
utre jour, je me suis rendue à la buanderie de la résidence universitaire. Il était déjà tard et je ne pensais pas y trouver qui que ce soit. J'aime bien être tranquille quand je m'occupe de mon linge. Je suis en première année de fac et je ne connais pas encore grand monde à part deux ou trois étudiantes de ma promotion avec qui j'ai sympathisé. Je suis assez timide et j'ai un peu de mal à me lier avec les autres filles. Pour ce qui est des garçons, ça ne vaut même pas la peine d'en parler. Je suis encore vierge et j'ai l'impression que je ne trouverai jamais l'âme sœur. Pourtant, je suis assez mignonne, du moins, c'est ce que me disent les gens de ma famille. Je ne sais pas s'ils sont très impartiaux mais je me trouve pas mal non plus. C'est plutôt ma personnalité qui m'empêche de lier connaissance avec les mecs de mon âge. Je crois que je leur fais un peu peur car je suis assez sérieuse et très bonne élève.
Je m'appelle Ophélie et j'ai tout juste vingt ans. Physiquement, je suis brune et j'ai de longs cheveux. Mes yeux sont clairs, tirant sur le vert. Je ne suis pas très grande, un peu moins d'un mètre soixante-dix. Mais j'imagine que ce n'est pas ce qui vous intéresse le plus si vous êtes en train de lire cette confession. J'ai une poitrine assez menue mais bien formée, avec de beaux seins ronds et fermes, surmontés de petits tétons foncés et très sensibles. J'ai le ventre plat et musclé car je fais pas mal de sport durant mes loisirs. Je fais aussi de la danse classique et ça me permet de ne pas avoir à rougir de mon derrière. Je trouve que j'ai une belle paire de fesses, même si j'aimerai parfois que ma croupe soit un peu plus rebondie. Mes jambes sont fines et bien galbées. J'adore mes mollets et mes chevilles que je n'hésite pas à mettre en valeur par mes tenues. Je ne porte presque jamais de pantalon, préférant arborer de petites robes plus féminines.
Ce soir là, je suis donc allée à la buanderie en portant sous mon bras mon panier de linge sale de la semaine. Mes parents habitent assez loin de la ville où je fais mes études et je ne rentre chez moi que pour les vacances, jamais pour le week-end. Le local où se trouvent les machines à laver est un peu à l'écart des bâtiments qui abritent les chambres des étudiants. Il faisait déjà sombre et j'ai pressé le pas pour m'y rendre, soucieuse d'éviter les mauvaises rencontres. Le campus est assez sûr généralement, mais je suis de nature anxieuse et je n'aime pas trop traîner dehors la nuit. Je n'ai rencontré personne sur le chemin, mais quand je suis enfin arrivée devant la buanderie, il y avait de la lumière. J'aurai préféré qu'il n'y ait personne mais je n'avais pas du tout envie de revenir plus tard, alors je suis entrée malgré tout en priant pour y trouver quelqu'un de sympathique.
Deux filles étaient déjà là. Je les connaissais de vue car elles fréquentaient le même cours que moi et je les avais déjà croisées dans l'amphithéâtre. C'était deux blondes assez mignonnes et j'avais déjà remarqué que les garçons de la promo les trouvaient à leur goût. Elles étaient presque toujours entourées d'une petite cour bruyante qui les suivait partout où elles allaient. A tel point que ça me faisait bizarre de les voir seules toutes les deux. Elles ont été sympas avec moi quand je suis arrivée. Elles m'ont reconnue aussi et nous avons entamé une conversation. Elles se sont aussi présentées. L'une s'appelait Linda et l'autre Margaux. On a discuté un peu de nos cours et puis je suis quand même allée m'occuper de ma lessive. Elles attendaient la fin de leur machine pour récupérer leur linge. Je me suis assise à côté d'elles pour attendre moi aussi. J'avais emmené des notes pour réviser mais en fin de compte, on a passé du temps à papoter de choses et d'autres. En fait, on a vite sympathisé.
Quand le sèche-linge qui contenait leurs effets s'est arrêté, elles l'ont ouvert et posé tout son contenu sur la table mise à disposition des résidents pour commencer à le plier. Je leur ai proposé de leur donner un coup de main et elles ont accepté mon aide immédiatement. Il y avait beaucoup de lingerie, pas toujours très sage. J'étais un peu gênée de tenir entre mes mains leurs sous-vêtements propres mais un peu coquins. Elles s'en sont aperçues et ça les a fait sourire. Elles m'ont demandé si je ne portais pas ce genre de choses. Je ne voulais pas paraître coincée alors j'ai dit que ça m'arrivait aussi. Linda a fait le tour de la table et elle est venue juste à côté de moi, l'air taquin. Je n'ai pas pensé à mal jusqu'au moment où elle a brutalement remonté ma robe en dévoilant à sa copine ma petite culotte en coton imprimé rose sur laquelle figurait un motif de cœurs. Les deux filles ont rigolé. J'étais un peu gênée. Elles m'ont dit qu'il ne fallait pas, qu'elles aussi portaient ce genre de sous-vêtements et qu'elles réservaient la lingerie fine à de grandes occasions. Pour me mettre à l'aise et me montrer qu'elles ne voulaient pas se moquer, elles ont ôté leurs propres robes et j'ai vu apparaître sensiblement les mêmes slips que celui qui venait de provoquer leur hilarité. J'étais rassurée et je me suis mise à rire avec elles de bon cœur. Linda s'est à nouveau approchée de moi et m'a retiré ma robe en me disant que comme ça, nous étions à égalité et qu'il n'y avait plus de différence entre nous. Pendant ce temps, Margaux est allée discrètement fermer la porte à clef mais je ne m'en suis pas aperçue tout de suite
Quand elle est revenue, nous avons continué à plier notre linge. Peu à peu, j'oubliai que je me trouvais en sous-vêtements dans la buanderie avec deux autres nanas. Nous nous amusions bien toutes les trois et j'étais heureuse de m'être faite de nouvelles amies. Elles ont décidé de rester avec moi jusqu'à ce que ma machine soit terminée à son tour. Quand ce fut le cas, je suis allée sortir mon linge. C'est là que les choses ont pris une tournure beaucoup plus équivoque et que ce qui ressemblait à de la simple complicité entre filles s'est imperceptiblement transformé en quelque chose de moins innocent.
Les deux amies sont venues en même temps à côté de moi, soi-disant pour voir le reste de mes fringues. Je me suis courbée sur l'ouverture du tambour pour y plonger le bras. Linda s'est penchée en avant elle aussi et, pour se retenir, elle a posé sa main sur mes hanches, juste au-dessus de mes fesses. La chaleur de sa paume me troublait. Margaux en a fait autant. Je commençais à trouver suspecte cette idée de vouloir à tout prix reluquer dans mon tas de linge mais je n'osais rien dire, de peur de les froisser l'une et l'autre. A parti de là, pourtant, je ne me sentais plus très rassurée. J'ai sorti sans me précipiter l'ensemble de mes vêtements de la machine et j'ai fait demi-tour pour aller les suspendre sur la corde à linge qui se trouvait tout au bout de la salle. Je ne suis pas très à l'aise financièrement et c'est la raison pour laquelle j'économise sur le coût du sèche-linge. J'ai donc pris mon panier pour aller éteindre mes habits mouillés et les faire sécher naturellement.
Linda et Margaux m'ont aussitôt emboîté le pas sous prétexte de m'aider. Je commençais à les trouver un peu envahissantes malgré la gentillesse dont elles faisaient preuve. Quand j'ai levé les bras pour suspendre ma première petite culotte, Linda a remis sa main sur ma taille. Elle ne se contentait pas de la poser sur ma peau, comme quelqu'un qui aurait cherché un simple appui. Non, ses doigts étaient bien trop tendus pour ça. Elle me serrait presque. Margaux est venue de l'autre côté de moi lentement. Elle a pris une culotte dans mon panier et elle l'a posée sur la corde d'une main. Ensuite, elle s'est penchée vers le petit bac qui contenait les pinces à linge et qui se trouvait à mes pieds. Au passage, elle a effleuré mes cuisses avec ses doigts. J'ai été troublée plus que je ne le voulais par ce contact pourtant si anodin au premier abord. Les petits frôlements se sont poursuivis jusqu'à ce que nous ayons accroché la dernière pièce d'étoffe sur la corde. J'étais en train de me calmer et de me dire que je me faisais des idées quand les deux copines m'ont suivie à nouveau vers le coin des machines à laver. Sans m'en rendre compte, je me suis retrouvée contre l'une d'entre elles. Linda et Margaux étaient chacune d'un côté de moi. Chacune de mes cuisses frottait contre l'une de celles de mes camarades et quand je regardais vers le bas, je pouvais voir nos trois petites culottes de coton côte à côte.
Je m'appelle Ophélie et j'ai tout juste vingt ans. Physiquement, je suis brune et j'ai de longs cheveux. Mes yeux sont clairs, tirant sur le vert. Je ne suis pas très grande, un peu moins d'un mètre soixante-dix. Mais j'imagine que ce n'est pas ce qui vous intéresse le plus si vous êtes en train de lire cette confession. J'ai une poitrine assez menue mais bien formée, avec de beaux seins ronds et fermes, surmontés de petits tétons foncés et très sensibles. J'ai le ventre plat et musclé car je fais pas mal de sport durant mes loisirs. Je fais aussi de la danse classique et ça me permet de ne pas avoir à rougir de mon derrière. Je trouve que j'ai une belle paire de fesses, même si j'aimerai parfois que ma croupe soit un peu plus rebondie. Mes jambes sont fines et bien galbées. J'adore mes mollets et mes chevilles que je n'hésite pas à mettre en valeur par mes tenues. Je ne porte presque jamais de pantalon, préférant arborer de petites robes plus féminines.
Ce soir là, je suis donc allée à la buanderie en portant sous mon bras mon panier de linge sale de la semaine. Mes parents habitent assez loin de la ville où je fais mes études et je ne rentre chez moi que pour les vacances, jamais pour le week-end. Le local où se trouvent les machines à laver est un peu à l'écart des bâtiments qui abritent les chambres des étudiants. Il faisait déjà sombre et j'ai pressé le pas pour m'y rendre, soucieuse d'éviter les mauvaises rencontres. Le campus est assez sûr généralement, mais je suis de nature anxieuse et je n'aime pas trop traîner dehors la nuit. Je n'ai rencontré personne sur le chemin, mais quand je suis enfin arrivée devant la buanderie, il y avait de la lumière. J'aurai préféré qu'il n'y ait personne mais je n'avais pas du tout envie de revenir plus tard, alors je suis entrée malgré tout en priant pour y trouver quelqu'un de sympathique.
Deux filles étaient déjà là. Je les connaissais de vue car elles fréquentaient le même cours que moi et je les avais déjà croisées dans l'amphithéâtre. C'était deux blondes assez mignonnes et j'avais déjà remarqué que les garçons de la promo les trouvaient à leur goût. Elles étaient presque toujours entourées d'une petite cour bruyante qui les suivait partout où elles allaient. A tel point que ça me faisait bizarre de les voir seules toutes les deux. Elles ont été sympas avec moi quand je suis arrivée. Elles m'ont reconnue aussi et nous avons entamé une conversation. Elles se sont aussi présentées. L'une s'appelait Linda et l'autre Margaux. On a discuté un peu de nos cours et puis je suis quand même allée m'occuper de ma lessive. Elles attendaient la fin de leur machine pour récupérer leur linge. Je me suis assise à côté d'elles pour attendre moi aussi. J'avais emmené des notes pour réviser mais en fin de compte, on a passé du temps à papoter de choses et d'autres. En fait, on a vite sympathisé.
Quand le sèche-linge qui contenait leurs effets s'est arrêté, elles l'ont ouvert et posé tout son contenu sur la table mise à disposition des résidents pour commencer à le plier. Je leur ai proposé de leur donner un coup de main et elles ont accepté mon aide immédiatement. Il y avait beaucoup de lingerie, pas toujours très sage. J'étais un peu gênée de tenir entre mes mains leurs sous-vêtements propres mais un peu coquins. Elles s'en sont aperçues et ça les a fait sourire. Elles m'ont demandé si je ne portais pas ce genre de choses. Je ne voulais pas paraître coincée alors j'ai dit que ça m'arrivait aussi. Linda a fait le tour de la table et elle est venue juste à côté de moi, l'air taquin. Je n'ai pas pensé à mal jusqu'au moment où elle a brutalement remonté ma robe en dévoilant à sa copine ma petite culotte en coton imprimé rose sur laquelle figurait un motif de cœurs. Les deux filles ont rigolé. J'étais un peu gênée. Elles m'ont dit qu'il ne fallait pas, qu'elles aussi portaient ce genre de sous-vêtements et qu'elles réservaient la lingerie fine à de grandes occasions. Pour me mettre à l'aise et me montrer qu'elles ne voulaient pas se moquer, elles ont ôté leurs propres robes et j'ai vu apparaître sensiblement les mêmes slips que celui qui venait de provoquer leur hilarité. J'étais rassurée et je me suis mise à rire avec elles de bon cœur. Linda s'est à nouveau approchée de moi et m'a retiré ma robe en me disant que comme ça, nous étions à égalité et qu'il n'y avait plus de différence entre nous. Pendant ce temps, Margaux est allée discrètement fermer la porte à clef mais je ne m'en suis pas aperçue tout de suite
Quand elle est revenue, nous avons continué à plier notre linge. Peu à peu, j'oubliai que je me trouvais en sous-vêtements dans la buanderie avec deux autres nanas. Nous nous amusions bien toutes les trois et j'étais heureuse de m'être faite de nouvelles amies. Elles ont décidé de rester avec moi jusqu'à ce que ma machine soit terminée à son tour. Quand ce fut le cas, je suis allée sortir mon linge. C'est là que les choses ont pris une tournure beaucoup plus équivoque et que ce qui ressemblait à de la simple complicité entre filles s'est imperceptiblement transformé en quelque chose de moins innocent.
Les deux amies sont venues en même temps à côté de moi, soi-disant pour voir le reste de mes fringues. Je me suis courbée sur l'ouverture du tambour pour y plonger le bras. Linda s'est penchée en avant elle aussi et, pour se retenir, elle a posé sa main sur mes hanches, juste au-dessus de mes fesses. La chaleur de sa paume me troublait. Margaux en a fait autant. Je commençais à trouver suspecte cette idée de vouloir à tout prix reluquer dans mon tas de linge mais je n'osais rien dire, de peur de les froisser l'une et l'autre. A parti de là, pourtant, je ne me sentais plus très rassurée. J'ai sorti sans me précipiter l'ensemble de mes vêtements de la machine et j'ai fait demi-tour pour aller les suspendre sur la corde à linge qui se trouvait tout au bout de la salle. Je ne suis pas très à l'aise financièrement et c'est la raison pour laquelle j'économise sur le coût du sèche-linge. J'ai donc pris mon panier pour aller éteindre mes habits mouillés et les faire sécher naturellement.
Linda et Margaux m'ont aussitôt emboîté le pas sous prétexte de m'aider. Je commençais à les trouver un peu envahissantes malgré la gentillesse dont elles faisaient preuve. Quand j'ai levé les bras pour suspendre ma première petite culotte, Linda a remis sa main sur ma taille. Elle ne se contentait pas de la poser sur ma peau, comme quelqu'un qui aurait cherché un simple appui. Non, ses doigts étaient bien trop tendus pour ça. Elle me serrait presque. Margaux est venue de l'autre côté de moi lentement. Elle a pris une culotte dans mon panier et elle l'a posée sur la corde d'une main. Ensuite, elle s'est penchée vers le petit bac qui contenait les pinces à linge et qui se trouvait à mes pieds. Au passage, elle a effleuré mes cuisses avec ses doigts. J'ai été troublée plus que je ne le voulais par ce contact pourtant si anodin au premier abord. Les petits frôlements se sont poursuivis jusqu'à ce que nous ayons accroché la dernière pièce d'étoffe sur la corde. J'étais en train de me calmer et de me dire que je me faisais des idées quand les deux copines m'ont suivie à nouveau vers le coin des machines à laver. Sans m'en rendre compte, je me suis retrouvée contre l'une d'entre elles. Linda et Margaux étaient chacune d'un côté de moi. Chacune de mes cuisses frottait contre l'une de celles de mes camarades et quand je regardais vers le bas, je pouvais voir nos trois petites culottes de coton côte à côte.
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Leçons particulières
- Bonjour Morgane, tu es prête pour ta première leçon ?
Je viens de pénétrer dans la chambre de la jeune étudiante, la fille de mes amis. Agée de 18 ans, elle m'a demandé de passer la voir ce jour-là. Je la connais depuis toute petite. Sa maman et moi sommes les meilleures copines du monde depuis l'école maternelle et j'ai toujours fréquenté sa famille. Morgane est une jeune fille intelligente, mais très réservée, voire timide. Elle n'a pas les mêmes préoccupations futiles que la majorité des camarades de son âge. Les garçons la laissaient indifférentes jusqu'il y a peu et elle n'a encore jamais eu de relation amoureuse. Elle a physiquement tout pour plaire : un beau visage, des courbes harmonieuses, une opulente chevelure blonde. Mais c'est vrai qu'elle ne fait pas grand chose pour se mettre en valeur. Dans ses tenues un peu ringardes elle n'attire pas spontanément le regard des hommes. Elle s'en est accommodée jusque là, mais il y a quelques jours, les évènements se sont précipités. Elle est venue me trouver en m'expliquant qu'un étudiant de deuxième cycle rencontré à la fac lui avait proposé de sortir avec elle un soir prochain. J'ai compris qu'il s'agissait d'un gars qui lui plaisait qu'en elle m'en a parlé. Mais avec son besoin de tout intellectualiser, elle craignait de ne pas se montrer à la hauteur. Comme nous sommes très proches, elle a choisi de se confier à moi et de me solliciter pour que je lui explique un certain nombre de choses qui lui paraissaient jusqu'à présent secondaires. Ce qu'elle ne savait pas, c'est qu'en tant que bisexuelle accomplie, l'idée d'éduquer une jeune oie blanche en profitant de son inexpérience me tentait par-dessus tout. Voila pourquoi, aujourd'hui, j'étais particulièrement émue en entrant dans sa chambre, alors que le reste de la maison familiale est vide.
- Oui, Nadine ! Je voudrais te remercier de bien vouloir t'occuper de moi. Tu sais, j'appréhende vraiment ce rendez-vous. Alexandre est le garçon qu'il me faut. Il est intelligent, gentil et en plus il est beau, même si ce n'est pas le plus important. Je ne voudrais pas le décevoir quand nous sortirons ensemble. C'est pour ça que j'ai besoin de tes conseils. Il faudrait surtout que je sache comment on embrasse. Tu veux bien m'expliquer s'il te plaît ?
Si je voulais ? Mais je n'attendais que ça ! La naïveté de Morgane m'étonnera toujours. Comment peut-on être à la fois si douée pour les études, si cultivée, si intelligente et pourtant si innocente quand il s'agit des choses de la vie ? Cette fille était un mystère pour moi mais je me promettais d'explorer au maximum toutes les facettes refoulées de sa personnalité
- Morgane, tu ne dois pas avoir peur ! Avec mes conseils avisés, tu seras tout à fait à la hauteur le moment venu. Je promets de te préparer à toutes les éventualités. Depuis le temps que je te connais, tu es un peu comme ma fille et je ne voudrais pas que tu te retrouves dans l'embarras lors de ton premier rendez-vous. Surtout s'il est aussi important pour toi. Je promets de tout faire pour que tu sois prête ce jour-là. Viens t'asseoir à côté de moi sur le canapé ! Tu dois bien écouter tout ce que je t'explique et faire comme je te dis, c'est très important. Tu sais, à mon époque beaucoup de filles apprenaient ces choses là avec des femmes plus âgées car nous ne disposions pas de la masse d'informations actuelles. Il n'y a pas de mal à ça, c'est naturel et aujourd'hui encore, c'est le cas pour beaucoup de tes contemporaines.
Je débitais avec conviction le petit texte rassurant que j'avais préparé mentalement avec soin avant de venir. Le but était de mette Morgane encore plus en confiance qu'elle ne l'était déjà afin de ne pas risquer de la braquer par la suite. Je n'avais pas vraiment de craintes à ce sujet car il me semblait évident que même si elle n'en laissait rien paraître au quotidien, les hormones travaillaient tout de même la jeune étudiante comme toutes les filles de son âge. Il me suffirait de réveiller le désir qui, j'en étais persuadée, restait tapi au fond de son ventre, n'attendant qu'une occasion de bondir à l'assaut de son sexe.
- Pour commencer, il faut que tu saches, si ce n'est pas déjà le cas, qu'on embrasse un homme avec les lèvres, mais aussi avec la langue. Tu as déjà dû en entendre parler autour de toi. Ouvre la bouche et tire la langue maintenant ! Voila, comme ça ! Passe-la sur les lèvres pour les mouiller un peu. Quand tu seras seule avec Alexandre, prête à l'embrasser, elles seront aussi humides. Maintenant, fais tourner ton petit muscle tout autour du trou de ta bouche. Tu verras, c'est facile. Oui, c'est bien mais fais attention d'aller partout. Regarde-moi et fais pareil !
J'ouvris moi-même la bouche pour lui montrer comment faire. Elle calqua peu à peu son rythme sur le mien. J'étais heureuse de la voir se plier sans la moindre gêne apparente à mes demandes. Ca augurait bien de la suite, comme j'allais le vérifier rapidement.
- C'est pas mal ! Ce qu'il faut que tu saches également c'est qu'une fois dans la bouche de ton ami, ta langue va rencontrer la sienne. Il fera comme toi et vos petites pointes s'uniront. Ca sera chaud et mouillé. Tu y trouveras du plaisir. Il vaudrait mieux que je te montre l'effet que cela donne si tu ne veux pas être prise au dépourvu quand ça arrivera. Approche encore un peu et laisse-moi faire, c'est normal que je t'aide ! Entre femmes, on doit s'entraider. Ce n'est pas comme si tu embrassais un garçon.
Je me suis avancée vers elle sans la brusquer, en tendant les lèvres. Je les ai collées aux siennes. Elle a eu un léger mouvement de recul mais j'ai pris sa tête dans mes mains pour la calmer et la retenir contre moi. Elle s'est peu à peu détendue, se persuadant sans doute de la nécessité de me faire confiance. Ou bien, peut-être commençait-elle à trouver que mon intervention lui procurait un début de plaisir ? Toujours est-il qu'elle ouvrît la bouche en grand pour accueillir ma langue contre la sienne. Et en tous cas, ce premier baiser me faisait de l'effet. Jusque là, mon plan marchait à merveille et je ne regrettais pas d'avoir été choisie par Morgane pour lui inculquer les rudiments de la vie amoureuse. Elle ne se doutait pas le moins du monde que j'étais bien décidé à ne pas en rester à une initiation trop basique.
Ma langue fouillait sa bouche avec une réelle indécence. Il y avait peu de chances pour que les premiers échanges avec son Alexandre se passent d'une manière aussi impudique. A moins que l'étudiant ne soit un vrai pervers déjà aguerri, il faudrait que Morgane se contente d'un bisou plus modéré. Je ne laissai pas un centimètre cube de sa bouche vierge de mes coups de langue. Ma pointe s'enroula autour de la sienne, glissa vers le fond, revint sur le bout. La jeune fille se montrait docile et, au fil du temps adopta mon style. A la manière dont elle réagissait, j'étais de plus en plus convaincue qu'il s'agissait bien de son premier baiser et cela accroissait notablement l'excitation qui me tiraillait le bas du ventre.
Je l'ai embrassée de la sorte pendant plusieurs minutes, me risquant à la serrer un peu dans mes bras. Il fallait pourtant que je me retienne d'aller plus loin tout de suite si je ne voulais pas l'effaroucher. J'ai mis à contrecœur un terme à notre échange. Il valait mieux que je m'en tienne à mon plan initial plutôt que de me laisser déborder par mes pulsions intimes. Par contre, je n'ai pas laissé à Morgane le temps de souffler ou de s'interroger outre-mesure.
- Tu vois, ce n'est pas bien compliqué ! Tu t'en sors pas mal du tout et je ne crois pas que tu dois craindre le moment où Alexandre t'embrassera. Il faut juste que tu veilles à bien mettre la langue partout dans sa bouche, même au fond ou contre ses joues. Les hommes aiment les filles qui savent bien embrasser. Là c'était technique, mais tu verras qu'avec lui, un garçon, ce sera beaucoup mieux.
Elle me regardait sans réaction, visiblement encore sous le coup de l'émotion procurée par le quasi-viol de sa bouche qu'elle venait de subir. Elle se rendrait sans doute compte plus tard dans sa vie de l'intensité de ce premier baiser qui n'avait rien de réservé. Je me suis adressée à elle pour entamer la seconde phase de mon scénario :
- Tu peux me dire ce que ça t'a fait de mêler ta langue à la mienne ? J'aimerai bien savoir si tu réagis correctement à ce genre d'expérience. Ca t'a seulement fait du bien à la bouche ou est-ce que tu en ressens les effets ailleurs, n'hésite pas à m'en parler, il faut que je sache si tout fonctionne bien où si tu as encore besoin de mes lumières.
- Ca m'a fait bizarre entre les jambes. Comme des fourmillements et maintenant, j'ai un peu froid. En fait, je crois que je suis mouillée. Je me demande si je n'ai pas fait pipi ou quelque chose de ce genre. C'est normal Nadine ?
Je viens de pénétrer dans la chambre de la jeune étudiante, la fille de mes amis. Agée de 18 ans, elle m'a demandé de passer la voir ce jour-là. Je la connais depuis toute petite. Sa maman et moi sommes les meilleures copines du monde depuis l'école maternelle et j'ai toujours fréquenté sa famille. Morgane est une jeune fille intelligente, mais très réservée, voire timide. Elle n'a pas les mêmes préoccupations futiles que la majorité des camarades de son âge. Les garçons la laissaient indifférentes jusqu'il y a peu et elle n'a encore jamais eu de relation amoureuse. Elle a physiquement tout pour plaire : un beau visage, des courbes harmonieuses, une opulente chevelure blonde. Mais c'est vrai qu'elle ne fait pas grand chose pour se mettre en valeur. Dans ses tenues un peu ringardes elle n'attire pas spontanément le regard des hommes. Elle s'en est accommodée jusque là, mais il y a quelques jours, les évènements se sont précipités. Elle est venue me trouver en m'expliquant qu'un étudiant de deuxième cycle rencontré à la fac lui avait proposé de sortir avec elle un soir prochain. J'ai compris qu'il s'agissait d'un gars qui lui plaisait qu'en elle m'en a parlé. Mais avec son besoin de tout intellectualiser, elle craignait de ne pas se montrer à la hauteur. Comme nous sommes très proches, elle a choisi de se confier à moi et de me solliciter pour que je lui explique un certain nombre de choses qui lui paraissaient jusqu'à présent secondaires. Ce qu'elle ne savait pas, c'est qu'en tant que bisexuelle accomplie, l'idée d'éduquer une jeune oie blanche en profitant de son inexpérience me tentait par-dessus tout. Voila pourquoi, aujourd'hui, j'étais particulièrement émue en entrant dans sa chambre, alors que le reste de la maison familiale est vide.
- Oui, Nadine ! Je voudrais te remercier de bien vouloir t'occuper de moi. Tu sais, j'appréhende vraiment ce rendez-vous. Alexandre est le garçon qu'il me faut. Il est intelligent, gentil et en plus il est beau, même si ce n'est pas le plus important. Je ne voudrais pas le décevoir quand nous sortirons ensemble. C'est pour ça que j'ai besoin de tes conseils. Il faudrait surtout que je sache comment on embrasse. Tu veux bien m'expliquer s'il te plaît ?
Si je voulais ? Mais je n'attendais que ça ! La naïveté de Morgane m'étonnera toujours. Comment peut-on être à la fois si douée pour les études, si cultivée, si intelligente et pourtant si innocente quand il s'agit des choses de la vie ? Cette fille était un mystère pour moi mais je me promettais d'explorer au maximum toutes les facettes refoulées de sa personnalité
- Morgane, tu ne dois pas avoir peur ! Avec mes conseils avisés, tu seras tout à fait à la hauteur le moment venu. Je promets de te préparer à toutes les éventualités. Depuis le temps que je te connais, tu es un peu comme ma fille et je ne voudrais pas que tu te retrouves dans l'embarras lors de ton premier rendez-vous. Surtout s'il est aussi important pour toi. Je promets de tout faire pour que tu sois prête ce jour-là. Viens t'asseoir à côté de moi sur le canapé ! Tu dois bien écouter tout ce que je t'explique et faire comme je te dis, c'est très important. Tu sais, à mon époque beaucoup de filles apprenaient ces choses là avec des femmes plus âgées car nous ne disposions pas de la masse d'informations actuelles. Il n'y a pas de mal à ça, c'est naturel et aujourd'hui encore, c'est le cas pour beaucoup de tes contemporaines.
Je débitais avec conviction le petit texte rassurant que j'avais préparé mentalement avec soin avant de venir. Le but était de mette Morgane encore plus en confiance qu'elle ne l'était déjà afin de ne pas risquer de la braquer par la suite. Je n'avais pas vraiment de craintes à ce sujet car il me semblait évident que même si elle n'en laissait rien paraître au quotidien, les hormones travaillaient tout de même la jeune étudiante comme toutes les filles de son âge. Il me suffirait de réveiller le désir qui, j'en étais persuadée, restait tapi au fond de son ventre, n'attendant qu'une occasion de bondir à l'assaut de son sexe.
- Pour commencer, il faut que tu saches, si ce n'est pas déjà le cas, qu'on embrasse un homme avec les lèvres, mais aussi avec la langue. Tu as déjà dû en entendre parler autour de toi. Ouvre la bouche et tire la langue maintenant ! Voila, comme ça ! Passe-la sur les lèvres pour les mouiller un peu. Quand tu seras seule avec Alexandre, prête à l'embrasser, elles seront aussi humides. Maintenant, fais tourner ton petit muscle tout autour du trou de ta bouche. Tu verras, c'est facile. Oui, c'est bien mais fais attention d'aller partout. Regarde-moi et fais pareil !
J'ouvris moi-même la bouche pour lui montrer comment faire. Elle calqua peu à peu son rythme sur le mien. J'étais heureuse de la voir se plier sans la moindre gêne apparente à mes demandes. Ca augurait bien de la suite, comme j'allais le vérifier rapidement.
- C'est pas mal ! Ce qu'il faut que tu saches également c'est qu'une fois dans la bouche de ton ami, ta langue va rencontrer la sienne. Il fera comme toi et vos petites pointes s'uniront. Ca sera chaud et mouillé. Tu y trouveras du plaisir. Il vaudrait mieux que je te montre l'effet que cela donne si tu ne veux pas être prise au dépourvu quand ça arrivera. Approche encore un peu et laisse-moi faire, c'est normal que je t'aide ! Entre femmes, on doit s'entraider. Ce n'est pas comme si tu embrassais un garçon.
Je me suis avancée vers elle sans la brusquer, en tendant les lèvres. Je les ai collées aux siennes. Elle a eu un léger mouvement de recul mais j'ai pris sa tête dans mes mains pour la calmer et la retenir contre moi. Elle s'est peu à peu détendue, se persuadant sans doute de la nécessité de me faire confiance. Ou bien, peut-être commençait-elle à trouver que mon intervention lui procurait un début de plaisir ? Toujours est-il qu'elle ouvrît la bouche en grand pour accueillir ma langue contre la sienne. Et en tous cas, ce premier baiser me faisait de l'effet. Jusque là, mon plan marchait à merveille et je ne regrettais pas d'avoir été choisie par Morgane pour lui inculquer les rudiments de la vie amoureuse. Elle ne se doutait pas le moins du monde que j'étais bien décidé à ne pas en rester à une initiation trop basique.
Ma langue fouillait sa bouche avec une réelle indécence. Il y avait peu de chances pour que les premiers échanges avec son Alexandre se passent d'une manière aussi impudique. A moins que l'étudiant ne soit un vrai pervers déjà aguerri, il faudrait que Morgane se contente d'un bisou plus modéré. Je ne laissai pas un centimètre cube de sa bouche vierge de mes coups de langue. Ma pointe s'enroula autour de la sienne, glissa vers le fond, revint sur le bout. La jeune fille se montrait docile et, au fil du temps adopta mon style. A la manière dont elle réagissait, j'étais de plus en plus convaincue qu'il s'agissait bien de son premier baiser et cela accroissait notablement l'excitation qui me tiraillait le bas du ventre.
Je l'ai embrassée de la sorte pendant plusieurs minutes, me risquant à la serrer un peu dans mes bras. Il fallait pourtant que je me retienne d'aller plus loin tout de suite si je ne voulais pas l'effaroucher. J'ai mis à contrecœur un terme à notre échange. Il valait mieux que je m'en tienne à mon plan initial plutôt que de me laisser déborder par mes pulsions intimes. Par contre, je n'ai pas laissé à Morgane le temps de souffler ou de s'interroger outre-mesure.
- Tu vois, ce n'est pas bien compliqué ! Tu t'en sors pas mal du tout et je ne crois pas que tu dois craindre le moment où Alexandre t'embrassera. Il faut juste que tu veilles à bien mettre la langue partout dans sa bouche, même au fond ou contre ses joues. Les hommes aiment les filles qui savent bien embrasser. Là c'était technique, mais tu verras qu'avec lui, un garçon, ce sera beaucoup mieux.
Elle me regardait sans réaction, visiblement encore sous le coup de l'émotion procurée par le quasi-viol de sa bouche qu'elle venait de subir. Elle se rendrait sans doute compte plus tard dans sa vie de l'intensité de ce premier baiser qui n'avait rien de réservé. Je me suis adressée à elle pour entamer la seconde phase de mon scénario :
- Tu peux me dire ce que ça t'a fait de mêler ta langue à la mienne ? J'aimerai bien savoir si tu réagis correctement à ce genre d'expérience. Ca t'a seulement fait du bien à la bouche ou est-ce que tu en ressens les effets ailleurs, n'hésite pas à m'en parler, il faut que je sache si tout fonctionne bien où si tu as encore besoin de mes lumières.
- Ca m'a fait bizarre entre les jambes. Comme des fourmillements et maintenant, j'ai un peu froid. En fait, je crois que je suis mouillée. Je me demande si je n'ai pas fait pipi ou quelque chose de ce genre. C'est normal Nadine ?
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