Une fois arrivés dans la salle d'eau, j'ai conduit Joëlle vers la douche. Nous disposons d'une cabine spacieuse qui peut sans problème accueillir deux adultes. J'avais bien sûr une idée derrière la tête : celle de partager un moment de tendresse et de volupté avec mon invitée. Je ne perdais pas de vue le thème et la raison de cette soirée particulière. Il fallait que Brice en profite jusqu'au bout et je voulais encore lui donner du spectacle. Par ailleurs, maintenant que j'avais apprécié les talents de Joëlle, j'étais prête à en bénéficier jusqu'au bout de la nuit. J'ai proposé à mon mari de prendre un bain pendant que j'utiliserai la douche avec ma compagne. Je crois bien qu'il a tout de suite compris où je voulais en venir. Il n'a pas réclamé et a commencé à remplir la baignoire, après y avoir déposé quelques gouttes d'huile essentielle de lavande. Je me suis retournée vers la cabine où Joëlle était déjà prête à m'accueillir.
Je suis entrée dans la douche et j'ai réglé le mitigeur sur la position adéquate. Je me réservais l'usage d'autres gadgets de la cabine pour plus tard. Il faut savoir que notre douche dispose de tous les conforts dernier cri. En particulier, de nombreuses buses permettent de diriger parfaitement des jets qui peuvent être très puissants sur toutes les parties du corps. C'est un luxe que nous avons voulu nous offrir pour égayer nos séances de baise et nous en profitons amplement, Brice et moi, surtout après nos sorties sportives. Il aime bien se faire masser la bite par un jet directionnel pendant qu'il me branle. Parfois, j'utilise le jet pour me nettoyer l'anus avant qu'il vienne me le manger. C'est très doux et agréable. Nous ne regrettons nullement d'avoir investi dans ce matériel de qualité qui nous donne entière satisfaction. Et pas seulement en matière d'hygiène.
Pour le moment, j'ai décidé de laver le corps parfait de Joëlle de la manière la plus traditionnelle. C'est le moins que je puisse faire pour la remercier de ses caresses. J'ai passé un gant de toilette sur ma main et je l'ai enduit de savon de Marseille. Il flottait dans la pièce une douce odeur de lavandin. Je m'approchai de ma partenaire et commençai à lui frotter le dos. Elle a compris qu'elle devait se laisser faire et s'est tournée presque instinctivement. J'allai lui montrer que j'étais une bonne élève et que je pouvais moi aussi donner du plaisir à une femme. Je me masturbe assez souvent, sous la douche ou en d'autres lieux, pour connaître parfaitement les points les plus sensibles du corps féminin
Plutôt que d'aller trop loin trop vite, je m'attardai sur des zones érogènes secondaires. Je quittai le dos de Joëlle pour lui laver le dessous des bras, les épaules, la base du cul. Je passai assez rapidement sur sa poitrine. J'évitai le contact direct avec ses seins pour le moment, me contentant de glisser tout autour. Je descendis vers son ventre, puis sur le pli de l'aine. Je me collai un peu contre elle. L'eau bienfaisante coulait sur nos corps réunis. Ensuite, je lui ai lavé l'intérieur des cuisses. Tout à l'heure, en me léchant et en me godant, elle a mouillé, elle aussi. J'évitai soigneusement d'effleurer son sexe. Ce sera pour plus tard. D'abord, il fallait que je l'échauffe un peu. Je voulais faire monter sa tension peu à peu, mais aussi celle de Brice qui nous observait du coin de l'œil depuis sa baignoire. Je sais qu'il a toujours fantasmé sur l'idée de me voir faire l'amour avec une femme et je désirais que ce moment soit réellement inoubliable pour lui.
J'avais fini de nettoyer le côté face de ma voisine de douche. Je la pris par l'épaule et l'invitai à se tourner pour que je puisse lui laver les fesses, jusqu'alors collées contre mon pubis. Elle fit demi-tour et vint de nouveau se serrer contre moi. Je passai une fois de plus mon gant dans son dos, sans m'attarder. Ma main descendit vers son derrière et je lui frottai les fesses avec douceur. Ce n'était plus une toilette mais une caresse. Je fis glisser la tranche de ma main entre les globes joufflus. Je les écartai un peu, sans aller tout à fait au fond. A ce moment, je mis la tête un peu en arrière et je la regardai. Elle leva les yeux vers moi et me tendit ses lèvres. Nous nous embrassâmes langoureusement. J'aimais sa langue qui me fouillait la bouche, dansant avec la mienne.
Ma main gauche se dirigea sans qu'elle s'en rende compte vers le système de commande de la cabine. J'actionnai un bouton particulier : celui qui régule le fonctionnement des buses disposées sur le côté de la douche. Aussitôt, un jet puissant se mit en branle dans le dos de Joëlle. Ca lui chatouillait le creux des reins. J'utilisai alors la bague mobile pour diriger le jet là où je souhaitais qu'il aille, juste entre les fesses de ma maîtresse. Je me suis débarrassée du gant et, avec mes deux mains, j'écartai les joues de son cul. L'eau venait maintenant directement dans sa raie. La puissance était telle que la flotte semblait solide. Je connaissais parfaitement le réglage à utiliser car je me branlais souvent de cette manière. Je savais que le jet qui poussait entre les fesses de Joëlle lui faisait du bien. D'ailleurs, elle commençait à se tortiller pour en jouer. J'en profitai pour lui écarter le derrière. Ainsi, elle pourrait sentir toute la vigueur de l'eau qui lui éclatait le cul. La cochonne cherchait aussi à profiter de la rudesse du jet sur sa chatte car elle gigotait non seulement de gauche à droite sans s'arrêter, mais aussi verticalement. Elle se laissait aller sur moi pour mettre son fessier en arrière et montrer à la buse vicieuse la fente de son petit abricot. J'étais certaine que l'eau lui écartait les lèvres du sexe par moment.
N'y tenant plus et désirant également profiter de tous les bienfaits de la douche technologique, j'ai appuyé sur un second bouton qui commandait une buse située dans mon dos. Je voulais aussi prendre mon pied. L'eau vint immédiatement s'éclater sur mon cul. Joëlle avait compris comment elle pouvait m'aider à jouir. Reproduisant mes propres gestes, elle m'ouvrit les fesses et m'écarta en plus les jambes avec son pied. Nous étions toutes les deux cambrées, le fondement offert et intimement reliées par la bouche. Je plaçai mes mains sur les seins de mon amante et entreprit de les caresser. Elle ne fit autant sur ma poitrine et je reçus avec beaucoup de bonheur ses attouchements.
J'avais laissé la porte ouverte pour que Brice puisse nous voir. Sans cela, la buée l'aurait considérablement gêné dans son rôle de voyeur. Là, j'étais persuadée qu'il ne perdait pas la moindre miette du spectacle, de son cadeau d'anniversaire. Je l'imaginais en train de se toucher la bite sous l'eau, prêt à exploser au moment où je jouirai avec Joëlle. Et ce moment là n'allait pas tarder à arriver.
La lesbienne ne se contentait plus du jet d'eau qui lui taraudait l'entrecuisse. Elle avait pris l'une de mes mains pour la coller sur sa vulve. Sans attendre, j'y avais fourré les doigts. Elle me faisait la même chose par derrière. Son index et son majeur étaient fichés dans ma chatte. Elle les pliait et les dépliait pour me limer, tout en me caressant l'anus avec son pouce. Pour lui rendre le plaisir qu'elle me donnait, je calquais mes gestes sur les siens. Nous ne nous soucions plus des jets d'eau qui venaient maintenant battre contre nos cuisses ou juste sur nos fesses, au hasard de nos déhanchements. Je l'ai tringlée jusqu'à ce qu'elle jouisse. Quand elle a enfin crié son bonheur dans la cabine, je n'ai pas pu me retenir de l'accompagner. Nous avons fini toutes les deux couchées au fond du bac, l'une sur l'autre. Nous étions bonnes pour nous laver à nouveau avant le repas et la suite de la soirée.