Je travaille depuis la rentrée dans une petite école d'une commune de taille moyenne, dans le centre de la France. Mes collègues sont toutes des femmes. Nous sommes quatre enseignantes d'âges divers et aux profils variés. Pourtant, depuis quelques temps, nous savons que nous avons un point commun : nous aimons les femmes et l'amour entre filles.
En fait, c'est la dernière visite de l'infirmière scolaire qui m'a ouvert les yeux. Je crois bien que Rachel, ma collègue qui fait office de directrice, la plus âgée d'entre nous, est gouine depuis toujours. Quand je l'ai surprise avec Madame Thomas, l'infirmière, elle prenait son pied dans le petit local qui nous sert d'infirmerie. C'est une pièce reculée de l'école et les élèves ne peuvent heureusement pas y accéder librement. Il faut la traverser pour rejoindre les archives de l'établissement. L'autre soir, après les cours, je cherchais un document archivé et, sans faire attention, je suis entrée dans le local que je pensais inoccupé.
Madame Thomas était couchée sur Rachel, la tête perdue entre ses cuisses. Elle lui offrait pareillement son ventre dans un 69 torride. La position explicite de mes collègues ne laissait guère planer de doute quant à leur occupation. Les deux lesbiennes se fourraient la vulve à grands coups de langue, croyant être à l'abri des regards indiscrets. Cela ne dura pas. J'étais dans le local depuis quelques secondes seulement quand l'infirmière leva la tête et me lança :
- Entrez donc Marine ! Refermez la porte derrière-vous et approchez ! Nous vous attendions, vous êtes la bienvenue.
Le ton de madame Thomas était directif et, je ne sais pas exactement pourquoi, il ne me laissait pas vraiment le choix. Comme dans un rêve, j'obtempérai à ses injonctions. Elle se leva et vint vers moi :
- Venez m'aider à accrocher cela s'il vous plaît ! C'est toujours délicat à enfiler seule et je ne voudrai pas faire attendre Rachel trop longtemps avant de la niquer.
Elle avait pris dans sa mallette un phallus artificiel équipé d'un système de sangles. Sans me laisser le temps de réagir, elle passa ses jambes dans les liens et fit remonter l'engin sur ses reins. Elle se tourna et me présenta sa croupe. J'étais déjà excitée, tant par ce que je voyais que par les paroles crues que l'infirmière scolaire prononçait à dessein. Sans réfléchir, je fixai l'attache du godemichet dans le bas de son dos. Elle se retourna vers moi, me sourit et me prit la main :
- Venez ma chérie, appréciez comme elle aime se faire prendre ! Rachel est une vraie nymphomane et il lui faut sa dose quotidienne de sexe. Ca va entrer comme dans du beurre, elle mouille déjà tellement.
Bizarrement, je n'étais même pas choquée par le comportement pervers de madame Thomas. Une impression d'irréalité prévalait pour l'instant dans mon esprit. Je m'approchai pour observer comment la femme allait prendre possession du corps de ma collègue.
Celle-ci était demeurée muette jusqu'à présent. Elle se contenta de me sourire, la bave aux lèvres, quand je me fus suffisamment avancée vers elle. Son beau corps de femme mûre était allongé sur la table d'examen en skaï de l'infirmerie. Elle ouvrait outrageusement les cuisses, prête à recevoir les hommages du gode harnaché à sa maîtresse. J'étais subjuguée par la scène qui se déroulait sous mes yeux. La tête du pénis factice avançait vers la grotte dévoilée de Rachel. L'infirmière la passa plusieurs fois tout au long de la fente de ma directrice, de façon à bien la lubrifier. Son amante, quant à elle, était déjà bien mouillée. Au fur et à mesure des passages successifs du gode, je vis la vulve de Rachel qui s'ouvrait peu à peu. Madame Thomas poussait toujours plus l'engin vers le sexe. Il finit par forcer l'ouverture des lèvres vaginales. Rachel lâcha ses premières paroles :
Oui, ça entre Julie ! Pousse encore, je le veux bien au fond. Mets-le-moi profondément, vite !
L'infirmière ne se fit pas prier. D'un coup sec, elle fit pénétrer l'engin dans la chatte de sa complice. Il ne se passa guère de temps avant qu'elle n'entame un mouvement régulier de va-et-vient. Sur le visage de Rachel, le plaisir transparaissait déjà. Julie Thomas tourna la tête vers moi. Ses mains lâchèrent un instant le bassin de l'institutrice et vinrent se poser sur mon bras. Elle m'attira vers elle. Obéissante, je m'approchai. Quand je fus assez près, elle se pencha un peu et vint sans retenue coller ses lèvres aux miennes. Dans un même mouvement, elle dégrafa mon chemisier et commença à me pétrir un sein, tout en continuant à bourrer ma collègue. Je ne pouvais pas résister. J'avais l'impression d'être sur une autre planète. Ma langue se mit à danser dans la bouche de l'infirmière, à l'unisson avec la sienne. Rachel se rappela à notre bon souvenir :
- Marine, enlève ton slip et retrousse ta jupe ! Viens te mettre sur ma gueule, je veux te manger le chat !
Elle soufflait en m'interpellant. Manifestement, les déhanchements de madame Thomas au bout du gode n'étaient pas sans effet. Celle-ci me guida vers la table d'une main ferme, non sans avoir au préalable exaucé les vœux de Rachel en me retirant ma culotte. Je n'étais plus moi-même. Je n'avais plus de volonté propre, l'excitation l'avait remplacée. Invitée fermement par la main de Julie à grimper sur la table, je me retrouvai sans trop savoir comment à califourchon sur le visage de Rachel. Mes genoux étaient posés de part et d'autre de sa tête. Ma courte jupe était relevée sur mes reins. Pour la première fois une femme me suçait la chatte
- Vous avez de la chance Marine, Rachel est une exceptionnelle bouffeuse de chatte. Depuis 20 ans que j'officie, entre autres, dans cette école de gouines, je n'en ai pas rencontrées de meilleure. Il faut dire que je lui ai tout appris. Vous verrez, vous aussi vous y viendrez. Une fois qu'on y a goûté, on ne peut plus s'en passer.
Je n'écoutais pas vraiment Julie. Mon attention était entièrement tournée vers les attouchements vicieux que me faisait subir Rachel. Sa langue de lesbienne me fouillait la vulve. Elle avait rapidement ouvert mes petites lèvres et me suçait maintenant le clito avec un art consommé. De temps en temps, elle revenait me laper la fente pour reprendre un peu de mon jus. J'entendais le bruit de succion qui venait d'entre mes jambes et le glissement du gode, de moins en moins régulier, de plus en plus profond, dans la chatte de ma collègue. Elle avait posé ses mains sur mes fesses et semblait vouloir m'attirer toujours plus contre son visage. Puis, elle m'invita à me pencher en avant. Ainsi, presque couchée sur elle, j'avais une vue imprenable sur le théâtre des opérations. Je voyais très distinctement la bite de plastique qui coulissait entre ses grandes lèvres. Mes yeux étaient à quelques centimètres seulement de son sexe. Faisant preuve d'une témérité que je ne me connaissais pas, je passai ma main droite par-dessus sa jambe et laissai aller mes doigts vers son clitoris. Madame Thomas apprécia cette initiative.
- Oh Rachel, elle te touche le bouton la vicieuse ! Je t'avais bien dit que c'était une chaude. La voilà qui te le branle. C'est une vraie gouine maintenant. Tu devrais la remercier. Fais-lui donc ce que j'aime tant !
Je ne savais pas à quoi m'attendre, mais je fus vite éclairée. Entre mes cuisses, un doigt vint s'insinuer dans ma fente, à côté de la langue de Rachel. Il y fut bientôt rejoint par un deuxième. Je sentais les phalanges de la directrice qui me fouillaient, en phase avec sa bouche. Puis, une pince se forma à la base de mon bourgeon. Un majeur et un index commencèrent à branler mon petit zizi. En même temps, les lèvres de Rachel se posèrent sur le bout. Masturbée et sucée simultanément, j'étais aux anges. Sous mes yeux, le gode ressortait toujours plus humide de la grotte de l'institutrice. Ma vision se brouilla et des spasmes m'étreignirent le ventre. Dans mon délire, j'entendis une dernière fois la voix de l'infirmière :
C'est fini, elle part. Tu l'as fait jouir avec ta langue de salope et tes doigts de cochonne. Qu'est-ce que tu es vicieuse ! Rien que d'y penser ça me fait couler. Là je crois qu'on tient une bonne recrue. Ca promet pour la suite...
Quand j'ai retrouvé mes esprits, j'ai relevé la tête. A nos côtés, mes deux autres collègues nous observaient, totalement nues, se tenant par la taille, un large sourire aux lèvres.