femmenuetsexe
pension de jeune fille
J'étais adolescente et, sans vouloir révéler mon âge (cela pourrait devenir obscène), je peux dire que j'ai vraiment aimé ce que j'ai vécu. C'est pourquoi je n'ai pas râler du tout.
Donc le troisième soir après mon arrivé, j'étais couchée dans mon lit. J'avais eu la chance (car mes parents étaient financièrement à l'aise), d'avoir une chambre privée.
Tous les soirs et même déjà chez moi, je me masturbais avant de m'endormir. Ca me détend et c'est tellement bon. Un gros défaut de ma part c'est que, lorsque je me caresse et que je suis sur le point de jouir, je perds totalement conscience de la réalité et je fais du bruit.
Vous devinerez que dans une école, l'épaisseur des murs étant ce qu'elle est, cela pouvait poser problème.
Ce soir là je m'installais confortablement, les jambes ouvertes et mon vibromasseur à la main. Je frottais doucement mon clito en faisant de petits cercles réguliers. Je suis une personne qui mouille facilement et mon liquide chaud coulait lentement dans la raie de mes fesses.
Je prenais tout mon temps et la sensation était super ! Mon clitoris était gonflé de sang, dur et mes lèvres enflées. Je quittais pour quelques secondes mon petit bourgeon pour entrer lentement l'engin dans mon vagin prêt à tout. Je gémissais et haletais. Mais sans réellement entendre les sons que j'émettais.
Je n'avais pas remarqué la porte qui s'était ouverte et refermée doucement, ni la sœur Laurence qui, dans la pénombre de ma veilleuse, me regardait me masturber.
Je lâchais mon vibrateur et le remplaçais par un doigt qui se mit aussitôt à titiller mon clitoris. De son coté, mon majeur effectuait des mouvements de va-et-vient rapides dans mon trou et mon bassin suivait la cadence. Je gémissais maintenant très fort et mon corps commençait à trembler légèrement.
Soudain, je sentis un mouvement sur le matelas. J'ouvris les yeux et trouvai sœur Laurence, l'uniforme relevé jusqu'à la taille et assise les cuisses écartées à quelques centimètres de moi.
- Regarde petite cochonne, ce que tu me fais !
Elle avait écarté ses lèvres avec sa main et, en relevant la tête, je vis sa chatte rasée et magnifique emplie de cyprine. Son clitoris était droit et dur, sorti entièrement de son petit capuchon.
- Continue de te caresser petite salope. Je veux te voir jouir. N'ai pas peur de crier. Toutes les autres chambres sont occupées et leurs occupantes dans la même situation que toi. La seule condition, petite cochonne, c'est que tu ne dois pas fermer les yeux et toujours regarder mon sexe. Regarde le bien couler pour toi car après tu viendras le manger.
J'étais tellement excitée que je me relevais légèrement. Mon doigt recommença à s'activer sur mon clitoris qui en redemandait. Mes yeux ne quittaient pas la main de sœur Laurence qui se caressait elle aussi. Son clitoris était superbe et long. Je n'en avais jamais vu un comme ça, même dans les cassettes pornos de papa. Elle pliait légèrement la tête en arrière et gémissait bruyamment. C'était très excitant. Puis, je vis son doigt entrer brusquement dans son vagin. Elle poussa un cri très fort
- Oh ! Oui, salope ! Hummm, que c'est bon ! Allez, bouge ton doigt plus vite sur ton clito. Montre-moi comme tu gicles. Allez cochonne !
Il ne m'en fallait pas plus pour poursuivre. Je me concentrais sur la montée de chaleur que je sentais dans tout mon corps. Puis ce qui devait arriver arriva. Je vis la sœur se contorsionner subitement et un gros jet de liquide blanchâtre sorti de sa chatte et vint atterrir sur mon mollet.
Mon clitoris devint alors dur et je giclai aussi quelques secondes après.
La sœur Laurence était maintenant étendue sur le dos. Elle se releva lentement, approcha sa bouche de ma chatte et se mit lentement à me licher. La sensation était très difficile, l'orgasme à peine éteint avait rendu mon sexe hyper sensible.
- Doucement ma sœur, doucement !
Elle releva la tête et ses yeux me fixèrent. Je pouvais voir sa langue bien droite tourner sur mon clitoris qui était encore au garde à vous.
- Tu gouttes très bon ma cochonne. Demain avant la messe, je vais te présenter au prêtre. Il adorera ton odeur. Ensuite il va te pénétrer et tu pourras assister à la messe avec son foutre entre les cuisses. Après la cérémonie, pour ton initiation, nous te mettrons en plein milieu de la table de salle à manger et chacune viendra te déguster et se masturber sur toi. Tu vas adorer ça.
La sœur s'était relevée, avait rabaissé sa tunique et me dit en terminant.
- C'est tout pour ce soir mais tu verras ma belle, ici, nous apprenons aux jeunes filles la jouissance extrême. Pour passer ton année, tu dois au moins jouir ou faire jouir un membre du personnel 10 fois par jour. Au coucher, juste avant de dormir, ton clitoris et les parois de ton vagin seront si sensibles que la nuit tu auras besoin de te caresser et de jouir encore et encore. Passe une bonne nuit car demain, dans les douches, toutes les filles de ton quartier devront se masturber mutuellement. Vous devrez toutes vous faire jouir. La sœur supérieure vérifiera à la salle à manger si vos entre-cuisses sont mouillés et s'ils sentent la cyprine. Si tu es chanceuse et que ton odeur est ce qu'elle désire ce matin là, elle te sucera devant tout le monde et te fera jouir comme jamais.
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lesbienne pour une nuit
Je n’avais pas l’habitude de sortir sans mon homme le samedi soir, mais à force d’insistance de la part de mon meilleur ami homo, je ne pouvais faire autrement que de le suivre dans une soirée sur Lille: il voulait prendre un verre dans un bar gay. Je n'avais aucune crainte, aussi je le suivis; au moins je ne me ferais pas draguer. J’entrepris donc d'aller le chercher vers 21 heures, et nous prîmes la route !
Arrivés vers 22h dans le centre-ville, nous nous rendîmes dans un petit bar où ne se trouvaient, pour la plupart, que des hommes; je me sentis donc de trop dès le départ.
Après quelques verres et voyant ma gêne, mon ami me proposa d’aller dans une boîte un peu plus bas dans la rue, ce que j'acceptai avec grande joie
Apparemment, mon ami avait branché un mec, qui nous suivit. La musique était très cool, électro et transe, un régal. Nous nous installâmes au bar, des bières pour les garçons et moi une vodka orange.
Ici c'était différent de ce que je connaissais, c'était une boîte gay, beaucoup d'hommes et de femmes qui s'embrassaient sur la piste de danse; cet endroit sentait le sexe, j'adorais ça. Une fois les hommes sur la piste, une jeune fille s'approcha de moi. Elle était belle, des longs cheveux noirs et des yeux noisettes, on aurait dit une héroïne de ma série [mon téléfeuilleton?] préférée, The L Word. Elle me demanda si j'étais seule, je lui montrai du doigt mon ami qui se dandinait sur la piste dans les bras de son apollon de la soirée.
Elle rit et commanda un whisky coca. Je commençais à paniquer, je sentais que cette fille avait envie de m'allumer et je ne savais pas si j’arriverais à aller jusqu’au bout.
Avec mon homme, nous sommes très libérés et ça nous arrive de nous parler de nos fantasmes; j’avoue que l’un des miens est de goûter à la sensualité d’une fille, mais là, je me sentais toute apeurée.
" - comment tu t’appelles ? me demanda-t-elle soudain, me replongeant tout à coup dans la réalité.
- euh Susie
- moi c'est Tania, tu viens souvent ici ?
- non c'est la première fois, je suis mon ami.
- ok, et l'ambiance te plaît? Je sentis sa main se poser sur ma jambe et là je sentis en moi une douleur dans le bas-ventre. Cette fille sans le savoir avait déclenché une envie irrésistible.
- ouais ça va, c'est assez accueillant
- ouais."
Je sentis sa main se poser sur ma jambe et là je sentis en moi une douleur dans le bas-ventre. Cette fille sans le savoir avait déclenché une envie irrésistible.
Je bus une gorgée de mon verre en la regardant dans les yeux. Elle en profita pour me prendre la main:
" - ça te dit de danser un peu?
- pourquoi pas!"
Au bout d’une demi-heure de danse collées l’une à l’autre, elle me glissa à l’oreille :
"- j’ai envie de sentir tes lèvres sur les miennes.
- pourquoi pas!"
Elle prit ma tête dans ses mains et nos langues se mêlèrent, une drôle de sensation. C’était la première fois que j’embrassais une fille et ce baiser en disait long sur le reste de la soirée.
Mon ami me fit signe qu’il allait à l’étage. Je ne pense pas qu'il ait vu le baiser. Revenues au bar, nous finîmes nos verres et elle me demanda de la suivre dans son appartement, situé juste en face. J’acquiesçai sans hésiter.
Son appartement était petit, mais la décoration était très relaxante, je me sentais bien; l’atmosphère était très sensuelle.
"- tu n’as jamais fait ça avec une fille, n’est-ce pas ?
- non jamais.
- t inquiète pas, je vais te faire grimper au rideau."
Elle m’embrassa avec fougue, je sentais ses mains sur mes fesses, ma chatte était toute mouillée, j'en avais mal au ventre. Mes mains envahirent son corps, j’avais envie d'elle et toutes mes retenues s'envolèrent.
Elle m'emmena au fauteuil, j'en profitai pour la regarder. Elle était très belle, une fine silhouette et des seins bien faits, je distinguais le début de ses fesses en dessous de sa mini-jupe.
Je lui caressai les jambes et remontai plus haut. Je sentais sa petite toison à travers sa culotte, elle était toute mouillée. J’écartai sa culotte pour pouvoir toucher ses lèvres. Elle me laissa faire, elle laissait échapper de petits gémissements; apparemment ça lui plaisait beaucoup.
Je la retournai et l’assis sur le fauteuil, enlevai sa jupe et sa culotte. Sa chatte était belle, toute mouillée, les lèvres toutes roses. Pour la première fois de ma vie j'entrepris de lécher une femme, et je ne m'en privai pas. J'écartai ses lèvres et approchai ma langue de ce petit bouton. Je commençai à la lécher tout doucement, elle se tordait dans tous les sens, elle me suppliait de continuer. Je la lapai de plus en plus vite, sa mouille dans ma bouche m'excitait encore plus. Elle se raidit soudain et se mit à hurler. Sa jouissance était sublime!
Elle m'embrassa comme pour me remercier.
" À ton tour ma belle, je vais te faire jouir!"
Elle me déshabilla en un rien de temps et entreprit de me lécher. Ma chatte était épilée et elle apprécia; sa langue me faisait l'effet d'un coup de fouet, c'était divin! On voyait qu'elle y mettait tout son cœur.
Je commençais à sentir venir l'orgasme quand elle s'arrêta brusquement:
" j'ai envie de te baiser."
Elle partit dans une pièce - sa chambre je suppose - en revint avec un gode vibrant. Elle entreprit de me l'insérer. Je sentis cet énorme phallus (plus gros que le sexe d'un homme) rentrer dans mon vagin.
C'était dur, c'était long... wwaaoouuu, la sensation m'envahit et je lui demandai de me bourriner plus fort, plus vite! Ce qu'elle fit.
Elle ajouta alors sa langue sur mon clito brûlant. Je me faisais pénétrer et lécher en même temps, je sentais que je n'allais pas tarder a exploser.
J'avais chaud. Elle se mit au-dessus de moi, offrant sa chatte à ma bouche, un 69 féminin. Je la suçai et aspirai son clito pendant qu'elle accélérait le vibreur du gode. Elle me léchait le cul, la cochonne. Je lui enfonçai un doigt puis deux et trois, j'accélérai mes mouvement en même temps que les siens!
Nous jouîmes toutes les deux en même temps! Nous nous renversâmes sur le côté, totalement épuisées. Quelle jouissance! J’étais vidée; elle aussi apparemment.
Elle me proposa de me doucher avant de repartir dans la boîte. J'acceptai et nos baisers dans la douche furent interrompus par la sonnerie de mon portable: mon ami me cherchait.
Je la remerciai et me rhabillai en vitesse. Elle me laissa son numéro de téléphone:
" tu m'as fait jouir deux fois, je t'en dois une.
" Je lui souris et refermai la porte derrière moi.
Mon ami m'attendait devant la porte de la boîte:
"- t'étais où?
- boire un verre avec une nana. T'es pas avec ton mec?
- il m'a planté pour un autre, sale con! Sale soirée! Tu t'es pas trop fait chier?
Arrivés vers 22h dans le centre-ville, nous nous rendîmes dans un petit bar où ne se trouvaient, pour la plupart, que des hommes; je me sentis donc de trop dès le départ.
Après quelques verres et voyant ma gêne, mon ami me proposa d’aller dans une boîte un peu plus bas dans la rue, ce que j'acceptai avec grande joie
Apparemment, mon ami avait branché un mec, qui nous suivit. La musique était très cool, électro et transe, un régal. Nous nous installâmes au bar, des bières pour les garçons et moi une vodka orange.
Ici c'était différent de ce que je connaissais, c'était une boîte gay, beaucoup d'hommes et de femmes qui s'embrassaient sur la piste de danse; cet endroit sentait le sexe, j'adorais ça. Une fois les hommes sur la piste, une jeune fille s'approcha de moi. Elle était belle, des longs cheveux noirs et des yeux noisettes, on aurait dit une héroïne de ma série [mon téléfeuilleton?] préférée, The L Word. Elle me demanda si j'étais seule, je lui montrai du doigt mon ami qui se dandinait sur la piste dans les bras de son apollon de la soirée.
Elle rit et commanda un whisky coca. Je commençais à paniquer, je sentais que cette fille avait envie de m'allumer et je ne savais pas si j’arriverais à aller jusqu’au bout.
Avec mon homme, nous sommes très libérés et ça nous arrive de nous parler de nos fantasmes; j’avoue que l’un des miens est de goûter à la sensualité d’une fille, mais là, je me sentais toute apeurée.
" - comment tu t’appelles ? me demanda-t-elle soudain, me replongeant tout à coup dans la réalité.
- euh Susie
- moi c'est Tania, tu viens souvent ici ?
- non c'est la première fois, je suis mon ami.
- ok, et l'ambiance te plaît? Je sentis sa main se poser sur ma jambe et là je sentis en moi une douleur dans le bas-ventre. Cette fille sans le savoir avait déclenché une envie irrésistible.
- ouais ça va, c'est assez accueillant
- ouais."
Je sentis sa main se poser sur ma jambe et là je sentis en moi une douleur dans le bas-ventre. Cette fille sans le savoir avait déclenché une envie irrésistible.
Je bus une gorgée de mon verre en la regardant dans les yeux. Elle en profita pour me prendre la main:
" - ça te dit de danser un peu?
- pourquoi pas!"
Au bout d’une demi-heure de danse collées l’une à l’autre, elle me glissa à l’oreille :
"- j’ai envie de sentir tes lèvres sur les miennes.
- pourquoi pas!"
Elle prit ma tête dans ses mains et nos langues se mêlèrent, une drôle de sensation. C’était la première fois que j’embrassais une fille et ce baiser en disait long sur le reste de la soirée.
Mon ami me fit signe qu’il allait à l’étage. Je ne pense pas qu'il ait vu le baiser. Revenues au bar, nous finîmes nos verres et elle me demanda de la suivre dans son appartement, situé juste en face. J’acquiesçai sans hésiter.
Son appartement était petit, mais la décoration était très relaxante, je me sentais bien; l’atmosphère était très sensuelle.
"- tu n’as jamais fait ça avec une fille, n’est-ce pas ?
- non jamais.
- t inquiète pas, je vais te faire grimper au rideau."
Elle m’embrassa avec fougue, je sentais ses mains sur mes fesses, ma chatte était toute mouillée, j'en avais mal au ventre. Mes mains envahirent son corps, j’avais envie d'elle et toutes mes retenues s'envolèrent.
Elle m'emmena au fauteuil, j'en profitai pour la regarder. Elle était très belle, une fine silhouette et des seins bien faits, je distinguais le début de ses fesses en dessous de sa mini-jupe.
Je lui caressai les jambes et remontai plus haut. Je sentais sa petite toison à travers sa culotte, elle était toute mouillée. J’écartai sa culotte pour pouvoir toucher ses lèvres. Elle me laissa faire, elle laissait échapper de petits gémissements; apparemment ça lui plaisait beaucoup.
Je la retournai et l’assis sur le fauteuil, enlevai sa jupe et sa culotte. Sa chatte était belle, toute mouillée, les lèvres toutes roses. Pour la première fois de ma vie j'entrepris de lécher une femme, et je ne m'en privai pas. J'écartai ses lèvres et approchai ma langue de ce petit bouton. Je commençai à la lécher tout doucement, elle se tordait dans tous les sens, elle me suppliait de continuer. Je la lapai de plus en plus vite, sa mouille dans ma bouche m'excitait encore plus. Elle se raidit soudain et se mit à hurler. Sa jouissance était sublime!
Elle m'embrassa comme pour me remercier.
" À ton tour ma belle, je vais te faire jouir!"
Elle me déshabilla en un rien de temps et entreprit de me lécher. Ma chatte était épilée et elle apprécia; sa langue me faisait l'effet d'un coup de fouet, c'était divin! On voyait qu'elle y mettait tout son cœur.
Je commençais à sentir venir l'orgasme quand elle s'arrêta brusquement:
" j'ai envie de te baiser."
Elle partit dans une pièce - sa chambre je suppose - en revint avec un gode vibrant. Elle entreprit de me l'insérer. Je sentis cet énorme phallus (plus gros que le sexe d'un homme) rentrer dans mon vagin.
C'était dur, c'était long... wwaaoouuu, la sensation m'envahit et je lui demandai de me bourriner plus fort, plus vite! Ce qu'elle fit.
Elle ajouta alors sa langue sur mon clito brûlant. Je me faisais pénétrer et lécher en même temps, je sentais que je n'allais pas tarder a exploser.
J'avais chaud. Elle se mit au-dessus de moi, offrant sa chatte à ma bouche, un 69 féminin. Je la suçai et aspirai son clito pendant qu'elle accélérait le vibreur du gode. Elle me léchait le cul, la cochonne. Je lui enfonçai un doigt puis deux et trois, j'accélérai mes mouvement en même temps que les siens!
Nous jouîmes toutes les deux en même temps! Nous nous renversâmes sur le côté, totalement épuisées. Quelle jouissance! J’étais vidée; elle aussi apparemment.
Elle me proposa de me doucher avant de repartir dans la boîte. J'acceptai et nos baisers dans la douche furent interrompus par la sonnerie de mon portable: mon ami me cherchait.
Je la remerciai et me rhabillai en vitesse. Elle me laissa son numéro de téléphone:
" tu m'as fait jouir deux fois, je t'en dois une.
" Je lui souris et refermai la porte derrière moi.
Mon ami m'attendait devant la porte de la boîte:
"- t'étais où?
- boire un verre avec une nana. T'es pas avec ton mec?
- il m'a planté pour un autre, sale con! Sale soirée! Tu t'es pas trop fait chier?
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la dévergondée
Cuisses écartées, ventre offert, Géraldine gémissait sous les coups de bite de son amant. Elle ne l’attendait pas en ce dimanche en fin après midi…Son téléphone avait sonné…il lui demandait s’il pouvait passer.Tu parles s’il pouvait passer…avec l’envie de fourette qu’elle avait c’était un bon plan.
Chaque jour et même la nuit, Gé sentait sa chatte vivre quasiment indépendamment d’elle, avec des chaleurs et des moiteurs inconnues d’elle un an auparavant.
Baiser…elle aimait baiser…(le vilain mot grossier), mais pourtant chargé de sens et explicite au concret.
Elle était devenue accro de sexe…il lui fallait de la queue pour calmer les envies de sa chatte en chaleur, il lui fallait se masturber avec un godemiché (offert par son amant). Elle y prenait un plaisir teinté, parfois, de frustration. Aussi bien manié qu’il soit, un gode reste un gode et ne remplace un vrai sexe d’homme, au gland développé, à la tige large qui vient s’enfoncer lentement dans le ventre.
Ce matin elle s’était faite jouir avec, car sa libido de petite salope lui faisait maintenant se livrer à ces jeux érotiques, sans attendre de savoir ce qui pourrait lui arriver d’autre dans la journée. Elle se l’enfonçait alternativement dans la chatte et dans le cul, jouissant autant de l’un que de l’autre. En faisant cela elle fantasmait sur tout ce qui lui arrivait de bien de puis des mois et qui n’était que justice, eu égard aux problèmes que lui avait causé un connard qui ne la sautait même pas. Pendant ces moments là elle pensait que n’importe lequel des types qu’elle connaissait viendrait-il à sonner chez elle, qu’elle le mènerait dans son lit pour qu’il la saute copieusement.
Là, pour l’instant, elle regardait entre ses cuisses, au niveau de sa chatte la queue qui la pistonnait, en la faisant jouir depuis le moment où elle lui était rentré dans la motte et il n’avait pas fallu longtemps.
A peine rentré, son amant l’avait attrapée pour commencer à la tripoter de partout, glissant ses mains sous sa tunique rouge et fendue, lui empoignant bien sa croupe de salope, qui était devenue ronde et ferme au fil du temps.Les mains lui glissaient de tous les cotés, venant lui caresser les seins, tirant sur les pointes pour les faire grossir…puis, la main gauche descendue sur sa chatte elle avait senti un doigt venir lui ouvrir les lèvres et s’enfoncer doucement dans sa motte en la faisant gémir. Ne restant pas inactive, Gé avait pris dans sa main la bite de ce salaud crapuleux pour commencer un va et vient des plus salaces, car maintenant elle savait branler par plaisir et elle devenait même experte, très experte, en faisant profiter de son dévergondage un copain de travail qui n’en pouvait plus de son envie de lui fourrer sa longue queue dans le ventre.
J-P le savait, elle le lui avait dit…et loin de le foutre en rogne ça l’avait excité, au point de lui faire une séance de baise démoniaque, qui l’avait laissée anéantie sur le lit, les bras en croix, les pointes des seins ayant doublées de volume, les cuisses écartées, la chatte pleine d’un sperme lourd…Etrange ce mec, qui, tout en disant : « c’est moi qui t’ai faite…ton cul m’appartient…ta motte est bombée grâce à moi…c’est moi qui t’ai rendue salope », ne faisait pas une maladie de ce qu’elle assumait tranquillement, à son rythme, avec un air candide de petite baiseuse qui veut se faire prendre…
Elle branlait son amant, en se laissant tripoter sous toutes les coutures, attendant le moment où il dirait : allez, au lit petite salope, que je te rentre ma queue dans la chatte…tu es trempée…tu coules…tu as envie de ma bite…tu vas jouir avec ma queue de salaud » !!! Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii elle avait envie…envie de se faire fourrer cette grosse queue, raide, dans la motte, de la sentir lui écarter les muqueuses, de sentir ses cuisses s’ouvrir et son ventre se creuser pour augmenter la pénétration.
Elle savait qu’il fantasmait sur cette main qui faisait grossir sa queue, qu’il imaginait le même geste sur le membre d’un autre…qui, lui aussi, lui avait enfoncé ses doigts dans la vulve…cette vulve coulante qui prenait plaisir à se faire gamahucher par des mains crapuleuses…qui ne reculait plus devant une bite qui avance…elle avait hésité à dire tout ça, mais en constatant les résultats elle se disait qu’elle aurait du le faire avant…
Et là elle y était, allongée sur le lit, où il l’avait amenée après le tripotage dans la salle à manger. Il avait été vite nu, puisque vêtu seulement d’un survêt et d’une chemisette…même pas de slip dessous, ce qui ne l’avait pas surprise quand sa main était allée chercher ce membre qu’elle sentait gonfler contre sa cuisse…quel queutard ce mec…il la faisait de venir dingue de queue, de sexe, de baise, de fourette…elle n’avait même plus honte d’assumer sa libido et de le dire, comme : « viens sous la douche avec moi ».
En un rien de temps elle avait remonté son bassin, pour offrir l’entrée de son ventre au sexe de J-P, qui s’était enfoncé en elle en poussant un soupir de plaisir, tout en lui cramponnant la croupe. Elle se sentait femelle, prise, pénétrée, investie par ce membre, qui continuait à grossir à mesure que les mains lui tenaient les hanches. Il lui disait qu’elle était « bonne », « salope », « baiseuse », « qu’elle l’excitait », « qu’elle le faisait bander », « fantasmer… », « qu’il se branlait en pensant à elle », faisant gicler sa grosse queue et lui envoyant son sperme sur les seins…
Elle coulait, coulait, sentant monter une houle de plaisir du fond de son ventre…se mettant à jouir presque instantanément, les yeux fermés…pendant que son amant la regardait, en continuant à lui dire qu’elle était un bon coup, qu’elle baisait bien, qu’elle était une jolie salope, bandante, qui aime la bite…Dingue cette sensation…il fallait qu’elle se lâche encore plus, elle le sentait. J-P arrivait à lui libérer la tête et à la faire jouir en lui parlant tout en la défonçant à grands coups de reins…quel salaud, mais quel salaud ce type, avec cette queue qui lui ramonait le ventre en la faisant gueuler de plaisir.
Tout en la limant de plus en plus fort il avait continué à lui parler, en lui glissant sa main sur le sexe, puis en y faisant rentrer un doigt qui était venu s’appuyer sur son clito : « Aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh, salaud, ça m’excite, ça me fait jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, tu me fais crieeeeeeeeeer, non, je veux pas…ouiiiiiiiiiiiiiiii, encore, continue…
Il lui avait demandé, voyant son excitation, à quoi elle pensait en se faisant masturber. Elle avait répondu ; « à toi, à ta queue…mais pas qu’à toi »…Les coups de bite avaient redoublés d’intensité…lui pilonnant la motte.« Et à qui tu penses hein, petite salope » ?
« A la percée de Georges Bush ».
« Ouais…c’est ça, prends moi pour un débile, fais attention je ne vais plus bander ».
Gé continuait à se secouer sur cette bite fabuleuse, à gémir, à crier, tout en fantasmant à son tour car ça devenait contagieux…et avait lâché : « Germain… j’ai ….. pensé….. à la maiiiiiiiiiiiiiiiin de Germain… ».
« Ouiiiiiiiiii……….qu’est-ce qu’il te faisait ? »
« Je te l’ai déjà dit ».
« Redis-le !!! ».
« Il m’a branléeeeeeeeeeeeee avec ses doigts, dans ma chaaaaaaaaaaatte….oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, il les a enfoncé dedaaaaaaaaaaaaaans, biiiiiiiiiiiiiiien au fond, je jouis, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis…………….
Joignant le geste à la parole, J-P lui avait attrapé le clitoris pour le lui comprimer en le frottant, ce qui l’avait rendue encore plus dingue de plaisir.« Comme ça, il t’a fait comme ça… ? »
« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, comme ça…et moi je le branlais… »
« Tu le branlais, salope ? » « Tu l’as fait juter ? »
« Ouiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ; chaque oui ponctué d’un coup de bite dans cette chatte de petite salope.
« Ouiiiiiiiiiiiii, il m’a fait jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir, à 7 heures du matin, dans le vestiaire… ».
Les coups de queue avaient redoublés, la faisant crier de plaisir et d’étonnement, à cette chose qu’elle ne croyait pas possible…jouir en sentant un sexe dans son ventre, des doigts sur son clitoris, tout en s’entendant dire à l’oreille de son amant, qu’elle avait pris son pied en se faisant rentrer les doigts de Germain dans la motte, qu’elle l’avait branlé, qu’elle avait joui et que oui, elle coucherait avec, car maintenant il fallait qu’elle aille jusqu’au bout.
« Tu me le diras ».
« Non ».
« Si ».
« Pourquoi ? »
« Parce que je veux tout savoir de toi, que ça m’excite, que quand je suis excité tu en profites, tu en jouis, que tu as du sentir que ma queue est encore plus grosse et que je te fais l’amour encore plus fort. Je suis formaté comme ça. »
« Alors je te le dirais peut-être ».
« Non pas peut-être ». « Je dois savoir ».
« Alors je te le dirais, ou j’irais par allusion, comme ça je te dirais sans le dire ».
« Bien, très bien, ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, salope de Géraldine, je vais te payer, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, si ça t’excite et te fais jouiiiiiiiiiiiir je te paierais ». « Putain que c’est bon de s’envoyer en l’air avec toi…tu baises fabuleux, tu baises salope, tu baises pûûûûûûûûûûte, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ââââââââââââââââââââââââââhhhhhhhh !!! »
Et les coups de bite avaient repris, défonçant toujours plus forts la motte de la jolie Géraldine qui continuait à crier : « fais moi jouiiiiiiiiiiiiiiiir, ouiiiiiiiiiiiiiiiii, encore…je te laisse partir que si tu me fais jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir.
J-P se retirant, lui avait glissé un doigt dans la chatte et un autre dans le cul, pour la limer bien à fond, comme en double pénétration…et elle avait recommencé à jouir, jouir, jouir…sous les doigts d’un salaud qui lui faisait faire ce dont elle ne se serait jamais crue capable…elle se sentait presque pute avec lui, tout en ne l’étant pas, mais l’idée la faisait jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir.
Vivement qu’il revienne lui mettre son membre dans le ventre, elle aurait encore des choses à lui dire, des bien salopes, des biens bandantes, des comme il aime de manière à en profiter et jouir encore et encore et toujours.
Chaque jour et même la nuit, Gé sentait sa chatte vivre quasiment indépendamment d’elle, avec des chaleurs et des moiteurs inconnues d’elle un an auparavant.
Baiser…elle aimait baiser…(le vilain mot grossier), mais pourtant chargé de sens et explicite au concret.
Elle était devenue accro de sexe…il lui fallait de la queue pour calmer les envies de sa chatte en chaleur, il lui fallait se masturber avec un godemiché (offert par son amant). Elle y prenait un plaisir teinté, parfois, de frustration. Aussi bien manié qu’il soit, un gode reste un gode et ne remplace un vrai sexe d’homme, au gland développé, à la tige large qui vient s’enfoncer lentement dans le ventre.
Ce matin elle s’était faite jouir avec, car sa libido de petite salope lui faisait maintenant se livrer à ces jeux érotiques, sans attendre de savoir ce qui pourrait lui arriver d’autre dans la journée. Elle se l’enfonçait alternativement dans la chatte et dans le cul, jouissant autant de l’un que de l’autre. En faisant cela elle fantasmait sur tout ce qui lui arrivait de bien de puis des mois et qui n’était que justice, eu égard aux problèmes que lui avait causé un connard qui ne la sautait même pas. Pendant ces moments là elle pensait que n’importe lequel des types qu’elle connaissait viendrait-il à sonner chez elle, qu’elle le mènerait dans son lit pour qu’il la saute copieusement.
Là, pour l’instant, elle regardait entre ses cuisses, au niveau de sa chatte la queue qui la pistonnait, en la faisant jouir depuis le moment où elle lui était rentré dans la motte et il n’avait pas fallu longtemps.
A peine rentré, son amant l’avait attrapée pour commencer à la tripoter de partout, glissant ses mains sous sa tunique rouge et fendue, lui empoignant bien sa croupe de salope, qui était devenue ronde et ferme au fil du temps.Les mains lui glissaient de tous les cotés, venant lui caresser les seins, tirant sur les pointes pour les faire grossir…puis, la main gauche descendue sur sa chatte elle avait senti un doigt venir lui ouvrir les lèvres et s’enfoncer doucement dans sa motte en la faisant gémir. Ne restant pas inactive, Gé avait pris dans sa main la bite de ce salaud crapuleux pour commencer un va et vient des plus salaces, car maintenant elle savait branler par plaisir et elle devenait même experte, très experte, en faisant profiter de son dévergondage un copain de travail qui n’en pouvait plus de son envie de lui fourrer sa longue queue dans le ventre.
J-P le savait, elle le lui avait dit…et loin de le foutre en rogne ça l’avait excité, au point de lui faire une séance de baise démoniaque, qui l’avait laissée anéantie sur le lit, les bras en croix, les pointes des seins ayant doublées de volume, les cuisses écartées, la chatte pleine d’un sperme lourd…Etrange ce mec, qui, tout en disant : « c’est moi qui t’ai faite…ton cul m’appartient…ta motte est bombée grâce à moi…c’est moi qui t’ai rendue salope », ne faisait pas une maladie de ce qu’elle assumait tranquillement, à son rythme, avec un air candide de petite baiseuse qui veut se faire prendre…
Elle branlait son amant, en se laissant tripoter sous toutes les coutures, attendant le moment où il dirait : allez, au lit petite salope, que je te rentre ma queue dans la chatte…tu es trempée…tu coules…tu as envie de ma bite…tu vas jouir avec ma queue de salaud » !!! Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii elle avait envie…envie de se faire fourrer cette grosse queue, raide, dans la motte, de la sentir lui écarter les muqueuses, de sentir ses cuisses s’ouvrir et son ventre se creuser pour augmenter la pénétration.
Elle savait qu’il fantasmait sur cette main qui faisait grossir sa queue, qu’il imaginait le même geste sur le membre d’un autre…qui, lui aussi, lui avait enfoncé ses doigts dans la vulve…cette vulve coulante qui prenait plaisir à se faire gamahucher par des mains crapuleuses…qui ne reculait plus devant une bite qui avance…elle avait hésité à dire tout ça, mais en constatant les résultats elle se disait qu’elle aurait du le faire avant…
Et là elle y était, allongée sur le lit, où il l’avait amenée après le tripotage dans la salle à manger. Il avait été vite nu, puisque vêtu seulement d’un survêt et d’une chemisette…même pas de slip dessous, ce qui ne l’avait pas surprise quand sa main était allée chercher ce membre qu’elle sentait gonfler contre sa cuisse…quel queutard ce mec…il la faisait de venir dingue de queue, de sexe, de baise, de fourette…elle n’avait même plus honte d’assumer sa libido et de le dire, comme : « viens sous la douche avec moi ».
En un rien de temps elle avait remonté son bassin, pour offrir l’entrée de son ventre au sexe de J-P, qui s’était enfoncé en elle en poussant un soupir de plaisir, tout en lui cramponnant la croupe. Elle se sentait femelle, prise, pénétrée, investie par ce membre, qui continuait à grossir à mesure que les mains lui tenaient les hanches. Il lui disait qu’elle était « bonne », « salope », « baiseuse », « qu’elle l’excitait », « qu’elle le faisait bander », « fantasmer… », « qu’il se branlait en pensant à elle », faisant gicler sa grosse queue et lui envoyant son sperme sur les seins…
Elle coulait, coulait, sentant monter une houle de plaisir du fond de son ventre…se mettant à jouir presque instantanément, les yeux fermés…pendant que son amant la regardait, en continuant à lui dire qu’elle était un bon coup, qu’elle baisait bien, qu’elle était une jolie salope, bandante, qui aime la bite…Dingue cette sensation…il fallait qu’elle se lâche encore plus, elle le sentait. J-P arrivait à lui libérer la tête et à la faire jouir en lui parlant tout en la défonçant à grands coups de reins…quel salaud, mais quel salaud ce type, avec cette queue qui lui ramonait le ventre en la faisant gueuler de plaisir.
Tout en la limant de plus en plus fort il avait continué à lui parler, en lui glissant sa main sur le sexe, puis en y faisant rentrer un doigt qui était venu s’appuyer sur son clito : « Aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh, salaud, ça m’excite, ça me fait jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, tu me fais crieeeeeeeeeer, non, je veux pas…ouiiiiiiiiiiiiiiii, encore, continue…
Il lui avait demandé, voyant son excitation, à quoi elle pensait en se faisant masturber. Elle avait répondu ; « à toi, à ta queue…mais pas qu’à toi »…Les coups de bite avaient redoublés d’intensité…lui pilonnant la motte.« Et à qui tu penses hein, petite salope » ?
« A la percée de Georges Bush ».
« Ouais…c’est ça, prends moi pour un débile, fais attention je ne vais plus bander ».
Gé continuait à se secouer sur cette bite fabuleuse, à gémir, à crier, tout en fantasmant à son tour car ça devenait contagieux…et avait lâché : « Germain… j’ai ….. pensé….. à la maiiiiiiiiiiiiiiiin de Germain… ».
« Ouiiiiiiiiii……….qu’est-ce qu’il te faisait ? »
« Je te l’ai déjà dit ».
« Redis-le !!! ».
« Il m’a branléeeeeeeeeeeeee avec ses doigts, dans ma chaaaaaaaaaaatte….oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, il les a enfoncé dedaaaaaaaaaaaaaans, biiiiiiiiiiiiiiien au fond, je jouis, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis…………….
Joignant le geste à la parole, J-P lui avait attrapé le clitoris pour le lui comprimer en le frottant, ce qui l’avait rendue encore plus dingue de plaisir.« Comme ça, il t’a fait comme ça… ? »
« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, comme ça…et moi je le branlais… »
« Tu le branlais, salope ? » « Tu l’as fait juter ? »
« Ouiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ; chaque oui ponctué d’un coup de bite dans cette chatte de petite salope.
« Ouiiiiiiiiiiiii, il m’a fait jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir, à 7 heures du matin, dans le vestiaire… ».
Les coups de queue avaient redoublés, la faisant crier de plaisir et d’étonnement, à cette chose qu’elle ne croyait pas possible…jouir en sentant un sexe dans son ventre, des doigts sur son clitoris, tout en s’entendant dire à l’oreille de son amant, qu’elle avait pris son pied en se faisant rentrer les doigts de Germain dans la motte, qu’elle l’avait branlé, qu’elle avait joui et que oui, elle coucherait avec, car maintenant il fallait qu’elle aille jusqu’au bout.
« Tu me le diras ».
« Non ».
« Si ».
« Pourquoi ? »
« Parce que je veux tout savoir de toi, que ça m’excite, que quand je suis excité tu en profites, tu en jouis, que tu as du sentir que ma queue est encore plus grosse et que je te fais l’amour encore plus fort. Je suis formaté comme ça. »
« Alors je te le dirais peut-être ».
« Non pas peut-être ». « Je dois savoir ».
« Alors je te le dirais, ou j’irais par allusion, comme ça je te dirais sans le dire ».
« Bien, très bien, ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, salope de Géraldine, je vais te payer, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, si ça t’excite et te fais jouiiiiiiiiiiiir je te paierais ». « Putain que c’est bon de s’envoyer en l’air avec toi…tu baises fabuleux, tu baises salope, tu baises pûûûûûûûûûûte, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ââââââââââââââââââââââââââhhhhhhhh !!! »
Et les coups de bite avaient repris, défonçant toujours plus forts la motte de la jolie Géraldine qui continuait à crier : « fais moi jouiiiiiiiiiiiiiiiir, ouiiiiiiiiiiiiiiiii, encore…je te laisse partir que si tu me fais jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir.
J-P se retirant, lui avait glissé un doigt dans la chatte et un autre dans le cul, pour la limer bien à fond, comme en double pénétration…et elle avait recommencé à jouir, jouir, jouir…sous les doigts d’un salaud qui lui faisait faire ce dont elle ne se serait jamais crue capable…elle se sentait presque pute avec lui, tout en ne l’étant pas, mais l’idée la faisait jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir.
Vivement qu’il revienne lui mettre son membre dans le ventre, elle aurait encore des choses à lui dire, des bien salopes, des biens bandantes, des comme il aime de manière à en profiter et jouir encore et encore et toujours.
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